Auteur avec Auxerre contre Montpellier samedi dernier de l’un des plus beaux buts de cette première journée de L1, Alain Traoré revient pour Football365 sur cette magnifique frappe qu’il n’a malheureusement pas pu vraiment célébrer comme il l’aurait espérer.
« Je n’avais encore jamais marqué un but comme ça en Ligue 1, reconnaît Alain Traoré. J’en avais juste marqué des semblables à l’entraînement. Je savais que j’étais capable de marquer un but comme celui-là, et mes coéquipiers aussi. Ils n’étaient donc pas surpris. J’ai une bonne frappe de balle, là j’ai essayé de tenter ma chance et ça m’a souri. Je reçois le ballon au milieu du terrain. Personne ne monte sur moi, donc je m’avance une fois, et personne ne monte toujours sur moi. Donc je me suis dit que c’était le bon moment d’essayer et de frapper. Si ça rentre, chapeau ! Maintenant, je savais que si ça ne rentrait pas, personne n’allait me crier dessus car tout le monde avait vu que personne n’était monté sur moi. En plus, au moment où j’ai reçu le ballon, il n’y avait pas non plus de décalage au niveau des attaquants, donc c’était le bon moment pour frapper. Et je n’ai pas hésité. Maintenant, même si ça fait plaisir de marquer mais quand il n’y a pas la victoire au bout, on a le sentiment de ne pas bien travailler. Car en football, seul compte le résultat final. Mon but est beau et c’est bien pour moi de commencer par un but, mais ça s’arrête là car il ne nous donne pas la victoire, donc je ne peux pas jubiler ni sauter partout (rires). »
« Je n’avais encore jamais marqué un but comme ça en Ligue 1, reconnaît Alain Traoré. J’en avais juste marqué des semblables à l’entraînement. Je savais que j’étais capable de marquer un but comme celui-là, et mes coéquipiers aussi. Ils n’étaient donc pas surpris. J’ai une bonne frappe de balle, là j’ai essayé de tenter ma chance et ça m’a souri. Je reçois le ballon au milieu du terrain. Personne ne monte sur moi, donc je m’avance une fois, et personne ne monte toujours sur moi. Donc je me suis dit que c’était le bon moment d’essayer et de frapper. Si ça rentre, chapeau ! Maintenant, je savais que si ça ne rentrait pas, personne n’allait me crier dessus car tout le monde avait vu que personne n’était monté sur moi. En plus, au moment où j’ai reçu le ballon, il n’y avait pas non plus de décalage au niveau des attaquants, donc c’était le bon moment pour frapper. Et je n’ai pas hésité. Maintenant, même si ça fait plaisir de marquer mais quand il n’y a pas la victoire au bout, on a le sentiment de ne pas bien travailler. Car en football, seul compte le résultat final. Mon but est beau et c’est bien pour moi de commencer par un but, mais ça s’arrête là car il ne nous donne pas la victoire, donc je ne peux pas jubiler ni sauter partout (rires). »