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Juste pour rire un peu

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ElMagnifico
okasapro
6 participants

descriptioncoolJuste pour rire un peu

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Rappel du premier message :

Match de foot en Somalie : émeute=50.000 morts.
L'arbitre a sorti un carton jaune : ils ont cru que c'était une biscotte.

descriptioncoolRe: Juste pour rire un peu

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Klogdrem1, il n'y a pas de bravoure dans la grossièreté! Tu vois, ton cœur balance entre censurer cette blague ou l'approuver! Or j'ai parcouru le profil des "forumistes" du GF-Etalons avant de la balancer. Nous sommes tous majeurs sur le site je suppose. Et si le webmaster ne l'a pas censurée c'est qu'il la jugée recevable!
Dans tous les cas je présente mes excuses à tous ceux-là qui sont ou seront indignés par cette blague. Certes, d'aucuns s'approprieront le dicton qui dit que : "souvent dans la barbe gît la médiocrité!". Mais à ces âmes pudiques, subjuguées de sainteté je précise que j'ai dû travailler la blague originale afin de la rendre moins agressive à la pudeur!

descriptioncoolRe: Juste pour rire un peu

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Je te comprends ELMAGNIFICO la blague n'est pas censurable.Moi ça ne m'a pas fait rire mais elle m'a mis pensif.Continues mon cher frère c'est bon de détendre l’atmosphère par des blagues mais pas érotiques

descriptioncoolRe: Juste pour rire un peu

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Amado a-t-il remis le bâton au petit ? Nabi a-t-il reçu son coup ? Vous le saurez bientôt dans la seconde partie où Nabi se « wacke » contre les coups de fusil, les morsures de serpents et les agressions d’animaux sauvages. Telle était la conclusion de la première partie du feuilleton Nabi se wacke.
Après plus de deux mois sans humour à vous partager et cela dû à mes nombreuses occupations je tiens d'abord à m'excuser sincèrement auprès de ceux et celles qui restent et demeurent constamment branché(e)s à la fibre comique! C'est aussi l'occasion pour moi de souhaiter, quoique tardivement, à tous et à toutes une bonne et heureuse fête de l'Assomption. Ainsi donc, après avoir honoré ensemble notre Bienheureuse Mère la Vierge Marie, je vous invite à déguster un pan des facettes de la vie quotidienne dont Ouagadougou la belle capitale du Burkina Faso en raffole. Cette scène intitulée Nabi se wacke - deuxième partie fait suite à la première que vous avez du reste déjà dégustée et cela depuis le 14 mai 2012. A la fin de cette histoire une dame est honorée et au-delà d’elle, son mari et toute la gente féminine ! Et cela suite aux indélicatesses et maladresses d’un colporteur qui pensant s’être immunisé par son wack contre tout, pouvait venir à bout de tout y compris la femme ! Bonne lecture.


Nabi se « wacke ». Seconde partie
Amado était surpris par cette injonction. Il fit un geste de rappel au petit, lui remis le bâton et fila se cacher dans les fourrés.
Le précautionneux Nabi se racla bruyamment la gorge et sortit. Il reçut un coup sec sur le genou et précisément sur la rotule. Ce coup apparemment anodin l’envoya pourtant rouler par terre au grand bonheur d’Amado le géant qui se marrait depuis sa cachette ignorant tout du réflexe rotulien qui a terrassé Nabi. Ce dernier se releva, boitilla un moment et sans broncher, sans se retourner il prit la direction de sa maison. Une fois à l’intérieur de sa case il murmura quelques mots accompagnés de gestes rituels et ressortit à « reculons ». Il resta immobile un moment, le temps de repérer de la fumée. Dans une cour attenante à la sienne s’élevait une fumée. Il s’y introduit sans crier gare, fonça directement sur le feu, prit quelque braises à l’aide d’un pot usager et repartit en direction de la brousse d’où il était venu, au grand étonnement des occupants de la cour qui ne comprirent pas le comportement de Nabi. Une fois en brousse il mit le feu à la hutte où eut lieu son rituel de « wackage », laquelle consuma totalement. Maintenant qu’il était « wacké », il pouvait rentrer chez lui, il pouvait s’exprimer !
Le lendemain Nabi retourna chez le wackman pour lui dire merci et lui présenter son dû. Celui-ci tint à Nabi ce langage : « Garde-toi de la lâcheté ! Garde-toi de surprendre l’homme, particulièrement et essentiellement ton opposé, mais sache que tout homme qui te surprend sera vaincu ! Garde-toi, te dis-je de t’en prendre à ton opposé !».
Nabi a-t-il saisi le message du wackman ? A-t-il compris le sens de son «opposé » ? Le parcours de Nabi nous situera.
Nabi eut plusieurs mésaventures, il avait des marques de coups de couteaux, de gourdins un peu partout sur le corps. De ces mésaventures Nabi a toujours eu le dessus. Personne n’osait l’affronter même de jour. Il était redouté, craint et respecté dans son village Bass’Bouré et ceux environnants. Plusieurs familles, pour s’attirer la sympathie de Nabi lui offrirent leurs filles en mariage à tel enseigne qu’en plus de ses conquêtes personnelles, Nabi, à peine la trentaine entamée avait un sérail composé de huit femmes. Dès lors, Nabi se prit pour un surhomme. Au fil des ans il devint arrogant, envahissant, insupportable et provocateur.
Redouté dans son village, Nabi se prenant pour un conquérant entreprit de faire voyager sa renommée. Il décida de faire un tour dans le village de Pawamtoré, histoire de tâter le pouls de ce village lointain au nom non moins rocambolesque que ses bagarreurs. Nabi s’y aventura donc. C’était un jour de marché. Alors que l’astre du jour culminait au zénith, Nabi tout de traditionnel vêtu, coiffé d’un bonnet rouge pourpre et chaussé de babouches de couleur jaune-ocre, fit son apparition dans une démarche altesse. Un griot le reconnut, vint à sa rencontre, fit une génuflexion et entama aussitôt un récital de l’arbre généalogique de Nabi au son de son instrument, le Lunga. Bientôt une horde de jeunes, garçons comme filles se bousculaient pour voir le redoutable Nabi de Bass’Bouré.
Nabi était aux anges ! Il fit un tour du marché, s’arrêta par moment, scruta autour de lui afin de jauger l’impression qu’il dégageait. Tout autour de lui la foule gonflait, admiratrice, conquise et stupéfaite. Nabi était là, en chaire et en os ! Ah, comme c’est sublime d’être un « dieu » !
Mais Nabi n’était pas Dieu. Il était juste un humain. Et les humains ont des besoins physiologiques que les dieux (ou esprits) n’ont pas ou n’éprouvent pas. Nabi eut donc soif ! C’est pourquoi il se dirigea vers le bar le plus animé de Pawamtoré afin d’y étancher sa soif. La horde des jeunes prit d’assaut le bar Delwendé afin de consommer par la vue le fameux Nabi. Il fut royalement accueilli, honoré et installé par un serveur qui se tint juste à ses côtés afin de s’enquérir de ses désirs. Contre toute attente, face à la courtoisie et à l’insistance du serveur, Nabi l’envoya paître. D’un mouvement de la main il intima le silence au quémandeur circonstanciel qui l’avait accosté depuis son arrivée et accompagné jusque dans le bar, le griot.
Nabi fixa et dévisagea une dame assise non loin de sa table et s’exclama: Eh toi là-bas, la dame-là, c’est toi qui va me servir ! La dame demeura imperturbable. Elle était assise avec quelqu’un. Elle était avec son mari. Nabi toisa à nouveau la dame et tonna. Mais madame resta indifférente. Face à ce mépris inconsommable Nabi, le grand Nabi, craint, redouté, puissant et conquérant se leva, vociféra et vint se dresser devant la dame. Il lança un regard méprisant et glacial vers le monsieur assis à côté de la dame. Nabi questionna : madame, êtes-vous sourde ou quoi?
La dame fit l’étonnée et lança un regard interrogateur à son mari. Ce dernier, à la stature frêle, dans un mouvement plein d’assurance dosé d’un calme olympien invita Nabi à rejoindre sa place et se faire servir par les personnes commises à cette tâche. Nabi prit cette invite comme de la provocation et le calme du monsieur comme de la faiblesse. Mais ne dit-on pas que l’arrogance précède la chute ?
Nabi, piqué dans son amour propre leva la main afin d’administrer une claque mémorable à la dame. Mais contre toute attente on vit Nabi voltiger et venir s’affaler sur son postérieur. La dame dans un geste éclair venait d’administrer à l’impoli Nabi un coup de karaté, juste un coup de main et non de couteau, mais un coup de main magistrale, bien dosé et placé où il faut. Tout le brouhaha du bar s’arrêta net. Un spectacle d’un genre nouveau mérite l’attention. Nabi se releva, sans bonnet et sans babouches. La dame était toujours là, assise, imperturbable mais cette fois-ci en culotte et débarrassée de son pagne impropre à cette gymnastique inattendue. Dans cette tenue sublime, la dame était angélique ! Tel un taureau blessé aux naseaux fumants, Nabi se cabra et bondit à nouveau sur la dame. Peine perdue ! Dans un mouvement époustouflant de reins suivi d’un croc-en-jambe légendaire, la dame propulsa le tonitruant Nabi qui, emporté dans son élan arracha au passage un jeune papayer en floraison et alla finir son trajectoire dans un tas de caisses vides stockées dans un coin.
Bientôt le marché se vida et vint au bar. Personne ne voulait se faire conter cet événement. Et personne, pas même les rares anciens qui étaient là n’osèrent intervenir tant le spectacle était alléchant.
Le beau et robuste Nabi tout couvert de poussière, s’arma de sa main gauche une bouteille à moitié brisée et de la droite un poignard qu’il sortit de son pantalon bouffant aux couleurs torrides. Maintenant ses intentions sont claires : tuer !
Aux grands maux, les grands remèdes ! Le mari d’un mouvement vif refoula son épouse et se tint sur le chemin de Nabi avec au poing un pistolet calibre 12. A la vue de l’arme Nabi recula, marcha sur un pneu usager, culbuta et tomba à la renverse, provoquant l’hilarité générale. Il se releva promptement, lança un regard éclair tout autour et repéra un pan du mur non achevé. C’est par ce passage providentiel que Nabi prit ses jambes à son cou, accompagné d’un tintamarre de rires et de moqueries.
Le propriétaire du bar Delwendé était subjugué par l’exploit de la dame. Il vint féliciter le couple et se chargea de prendre à ses propres frais tous leurs achats. Il demanda à connaître le nom de la dame avec la permission de monsieur. Celui-ci lui répondit avec allégresse que son épouse se prénomme Paliing’Wendé. Alors le maître des lieux s’adressant à la foule encore massée et pleine d’admiration pour ce couple exceptionnel, lança : « à partir d’aujourd’hui je change le nom de mon bar ! Désormais il s’appellera Paliing’Wendé en mémoire à la bravoure de cette femme ! ». Un applaudissement nourri accompagna cette déclaration.
Pour la première fois Nabi venait d’être vaincu ! Ses habits étaient méconnaissables et son bonnet splendide de même que ses babouches s’étaient envolés. Comment alors rentrer de la sorte le jour et supporter le regard, voire les questionnements de ses épouses ? Nabi ce jour-là rentra très tard.
Une fois dans sa case Nabi entreprit de se débarrasser de ses habits. Il retira, non sans difficultés son pantalon qui restait étonnamment collé à ses fesses. Nabi fut intrigué. Une odeur fétide et insupportable se dégageait de son pantalon. Le grand Nabi constata l’incroyable et murmura : « Nabi a chié ! »
Nabi mit méticuleusement ses habits dans un sac, demeura songeur un moment et se questionna : qui va laver mes habits ? En tout cas il n’était pas question de confier cette tâche à une quelconque de ses femmes. Un jour de bagarre et le secret est dehors ! C’est pourquoi Nabi confia secrètement ce besogne à une de ses confidentes, sa très respectée et vénérée grande sœur. Le linge sale se lave en famille !
Nabi, depuis ce jour, se levait très tôt et rentrait très tard ; il fréquentait d’autres contrées aux regards supportables. Nabi consulta néanmoins son wackman afin de s’assurer de l’état de son wack. Il fut surpris de constater que le wackman était informé de sa déconfiture à Bass’Bouré. Le wackman assura Nabi que son wack était toujours efficace. Seulement il avait enfreint un principe : « Garde-toi de t’en prendre à ton opposé ». L’opposé de Nabi en tant qu’homme n’était pas son adversaire mais la femme, toute femme, celle qui te met au monde : il faut la respecter, la vénérer. Et là Nabi n’avait rien saisi. Il l’apprit à ses dépens.
Certes, Nabi a perdu une bataille mais pas la guerre. La vie c’est la guerre et Nabi se promit de gagner cette guerre. Et pour commencer Nabi jura et se promit de se wacker contre les coups de fusil ! En réalité Nabi était intrigué par sa propre réaction face à ce pistolet pointé sur lui. Il fut désarmé à cet instant et son sphincter lâcha d'où les excrétas dans son pantalon. Il n’avait jamais auparavant éprouvé une peur pareille.
Et Nabi allait se wacker contre les coups de fusils toutes catégories confondues : Long rifle, Baïcal Amour, Canon scié, Calibre 12, Winchester, Mass’36, G3, Kalachnikov, RPG7, Bazouka, etc.
Affaire donc à suivre…

descriptioncoolRe: Juste pour rire un peu

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Nabi, depuis ce jour, se levait très tôt et rentrait très tard ; il fréquentait d’autres contrées aux regards supportables. Nabi consulta néanmoins son wackman afin de s’assurer de l’état de son wack. Il fut surpris de constater que le wackman était informé de sa déconfiture à Bass'Bouré...

Lire plutôt : Nabi, depuis ce jour, se levait ... Il fut surpris de constater que le wackman était informé de sa déconfiture à Pawamtoré...

Bass'Bouré étant le village de Nabi.

Toutes mes excuses!

descriptioncoolRe: Juste pour rire un peu

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Ah bon neveu? Tu attaques maintenant tes oncles (colporteurs). Tu n'auras pas ton coq.

descriptioncoolRe: Juste pour rire un peu

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Non mon oncle, tous les colporteurs ne sont des Yaarsé! Et cela m'étonnerait que le Nom NABI colle avec un Yaarga! Quant à mon coq je sais pertinemment que je l'aurai car j'ai dans ma besace du lait et du miel pour mon oncle, donc...

descriptioncoolRe: Juste pour rire un peu

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Je suis réconforté. Alors tu auras autant de coqs que tu veux.

descriptioncoolRe: Juste pour rire un peu

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Mon oncle je veux un bélier! Et je t'invite, de même que mes très chers internautes du GF-Etalons à partager la joie du Ramadan à travers la blague suivante :

Le pourceau !

A l’occasion de l’Aïd El Fitr ou Ramadan, Moor Souleymane alias Souley Djindaamba a convié un beau monde afin de fêter. Comme en de pareilles circonstances il est magnifique de manger ensemble autour d’un plateau voire d’une bassine remplie de riz jonché de gros morceaux de viande.
C’est donc tout un gros monde qui est agglutiné autour de la bassine en train de festoyer. Un des enfants de Souley nommé Djibril, à peine âgé de 6 ans, mangeait avec le groupe. En de pareilles circonstances il est conseillé de servir les bambins à part car ils sont toujours capables d’étonnement. Mais ce fiston de Souley était l’enfant chéri. Le petit Djibril et son géniteur c’était ton pied mon pied. Et autour du plateau géant l’enfant ne se faisait pas prier. Il promenait ses petits mains un peu partout, prenait tel morceau de viande, le mordait, le jetait par là, attrapait ce morceau par-ci, l’inspectait, l’avalait sans mâcher. Bref l’enfant indisposait tout le monde y compris Souley. Ce dernier remarquant le manège de l'enfant s’écria : Oh toi là, arrête un peu, mange doucement ! Tu manges comme un pourceau ! Et Souley de questionner bruyamment son fils :
- Djibril sais-tu ce que c’est qu’un pourceau ?
- Oui Papa, c’est le fils du cochon ! Répondit aussi bruyamment le petit.
Tous les frères musulmans autour du plateau éclatèrent de rires. Certains roulèrent par terre. Seul Souley resta stoïque, le regard figé sur son fiston. Il est tout mignon, incapable de lui administrer une petite raclée et de plus c’est le jour de RAMADAAAAAN !
Souley lança : Eh!, Assahad, Waïla’ha il’Allah ! Vraiment ce fils de … cochon m’a eu !
Autour de Souley c’était tout un tintamarre de rires, la joie était à son comble.
Mauvaise fortune, bon cœur. Souley Djindaamba éclata également de rires !
Bonne fête de Ramadan à tous et à toutes ! Qu’Allah bénisse le Burkina Faso, l’Afrique toute entière et le monde entier. Qu’Il nous épargne des guerres, des provocations et des bruits de bottes, de haine et de division ! La vie est tellement éphémère qu’il est temps d’arrêter nos agissements de cochon et de nous concentrer sur l’essentiel : « Nous aimer les uns les autres et servir Allah !»

descriptioncoolRe: Juste pour rire un peu

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Merci neveu. Bel enseignement. Bonne fête de RAMADAN à tous. Qu'ALLAH veille sur le BURKINA FASO. Ton bélier tu l'aura tout blanc.

descriptioncoolRe: Juste pour rire un peu

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LE PARACHUTISTE!

Quand on a tout on n’a plus de projets mais des caprices. Et les caprices ne manquent pas chez les Maîtres du Monde. C’est ainsi que pour décider de l’avenir du Monde les Chefs d’Etats les plus puissants d’alors ont convenu de tenir leur réunion y relative dans un avion gros porteur! A bord on note donc la présence des chefs d’états de:
USA, Chine, Russie, Japon, Allemagne, France, Angleterre, Canada et Vatican (le Pape himself)
Tout d’un coup le Commandant de bord, d’ailleurs seule personne de l’équipage ce jour-là, huis-clos oblige, annonce : A votre attention messieurs, nous avons juste une dizaine de minutes pour évacuer l’appareil qui, d’un moment à l’autre, va exploser ! Dépêchons ! Nous ne disposons que de neuf parachutes. Or vous êtes neuf ! Allez-y messieurs, moi je reste ! Il est de mon devoir de demeurer à bord advienne que pourra, c’est mon métier !
Kaiiiiiiiiii, le Président français d’alors bondit : « Mon pays a trop de projets en vue et je suis le seul à les avoir initiés donc le seul également à assurer leur réalisation, salut ! Ainsi dit ainsi fait, il bondit sur un sac «para» et Foussssss!!!!!!!, il est parti.
Ainsi un à un l’avion se vida en l’espace de deux minutes des chefs d’état sauf un, le Pape. Ce dernier fit une brève prière et dit au commandant : Mon fils, tu es jeune ! Je t’ordonne de prendre ton parachute vite et de sortir, moi je reste ! Je suis assez vieux et c’est mon rôle de mourir pour que le reste vive !
Le commandant s’écria : Saint Père, nous avons deux parachutes ! En fait le premier à détaler s’est trompé et s’est emparé de mon sac à dos !!!!!!!!!!

descriptioncoolRe: Juste pour rire un peu

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D'où tient cette blague mon petit moaga? Tu veux dire que le président français s'est jété dans le vide avec un sac à la place d'un para? je ne savais pas que tu continuais des histoires dont les sources et les acteurs sont des moosés. J'aurais la chance de t'en raconter un de ces jours? Même si c'est pas sur ce forum.

descriptioncoolRe: Juste pour rire un peu

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LA CHUTE !
Dans une salle de classe, la maîtrise est en train de donner son cour. L’estrade au-dessus de laquelle la maîtresse se tient est assez haute, si bien qu’elle est visible du fond de la salle. Soudain, catastrophe ! La maîtresse par inadvertance se prend les jambes dans le tabouret et fait un plongeon spectaculaire. Cette chute rocambolesque, soudaine et brève a été suivie en détail par les élèves assis devant. La maîtresse se leva promptement et parcourut la salle d’un regard interrogateur !
La posture courbée de la plupart des élèves dénotait d’une explosion contenue de rires. La maîtresse fixa un premier élève du regard et l’interrogea :
• Qu’as-tu vu ?
- Vos mollets Madame ! Dit l’élève dans un sourire étouffé.
• Dehors, tu es suspendu pour une semaine!

• A un second, elle demande : Et toi qu’as-tu vu ?
- Vos cuisses Madame !
• Quoi ? Tu es suspendu pour un mois !
Le troisième n’attendit pas d’être interrogé. Il ramassa sa besace et se dirigea vers la porte. La maîtresse étonnée lui demande : Et toi qu’est-ce qu’il y a ?
- Madame, moi ce que j’ai vu c’est année blanche seulement !!!!!!!!!!!!!!!
Juste pour porter un sourire aux lèvres des milliers de supporteurs meurtris par la culbute des juniors au Gabon. Le déséquilibre des Juniors burkinabè s’était déjà opéré à Ouagadougou (tenus en échec 2-2) avant qu’ils n’aillent s’étaler à Libreville. Bonne chance aux Juniors gabonais ! Vous êtes tout simplement bons !
Allez les Etalons juniors, vous avez perdu une bataille mais pas la guerre ! A vous de savoir reculer pour mieux sauter !
Quant à nous les supporteurs, il n’y a point de renoncement ou d’année blanche! On est ensemble ! On vous soutient !

descriptioncoolRe: Juste pour rire un peu

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Le Kung Fu du crapaud
En allant à la chasse aux éphémères, Tibo et Tibila ne savaient pas qu’ils allaient assister à un spectacle marrant. Les mésaventures et autres faits divers ne sont pas seulement de l’apanage des humains. On en trouve dans le règne animal et pour le cas présent, la scène a lieu chez les batraciens !
Nous sommes en début juin et une grosse pluie matinale venait de s’abattre sur le village de Koankin. Dès leur réveil, Tibo et Tibila, avant de vaquer aux travaux champêtres, se dépêchèrent d’étaler de la paille en quantité au soleil en prévision à la chasse nocturne aux éphémères. En effet, il est de coutume au Burkina Faso et spécialement sur le plateau mossi de voir la plupart des villageois agir de la sorte après chaque grosse pluie matinale. Cela a lieu uniquement au début de l’hivernage car en pleine saison, avec les hautes herbes il n’y a plus d’éphémères.
Les éphémères sont des insectes comestibles, prisées par les reptiles (serpents et lézards), les batraciens (crapauds, grenouilles), les roussettes et les humains notamment certains habitants burkinabè et spécialement les mossi.
Revenus des champs, Tibo et Tibila, après un bon bain et un repas bienfaisant, attachèrent la paille bien séchée et prirent la direction de la brousse. Ils avaient dans la journée, au cours de leurs travaux champêtres, repéré une termitière en ébullition susceptible de pourvoir des éphémères en quantité.
Ils parvinrent bientôt à la termitière. Ils s’installèrent, prirent le soin de balayer une aire assez étendue, firent d’abord un petit feu dans l’attente des premiers éphémères. L’attente ne fut pas longue. Bientôt ils sont envahis pas un tourbillon d’éphémères. Ils firent alors un grand feu. Et le feu au cœur de la brousse attira du monde : un serpent, qui fut rapidement éliminé grâce à la vigilance de l’aîné Tibo, ensuite une colonne de crapauds et une multitude de bestioles attirés par le feu.
Un gros crapaud semblait ne pas craindre du tout le feu, tellement il sautillait sur quelques brindilles enflammées pour attraper les éphémères. Il avait un estomac énorme et tenait coûte que coûte à le remplir. La gloutonnerie, l’ardeur, la rapidité et l’adresse de ce crapaud hors norme avaient attiré l’attention des deux frères. Ces derniers, bien que concentrés sur leur tâche, observaient de temps à autre ce batracien intrépide.
Bientôt un vrombissement se fit entendre. Les deux frères n’y firent pas attention mais le crapaud resta immobile, le temps de distinguer l’auteur de cette musique anodine. Après quelques tours de reconnaissance le visiteur atterrit juste à quelques centimètres du crapaud : un scarabée. Le crapaud retint son souffle. Celui-là vaut cent éphémères réunis. Il bondit sur le scarabée et l’avala d’un seul coup. Et le spectacle commença !
L’estomac du batracien fut pris de convulsions. Il se secoua, se tint sur ses deux pattes-arrière, s’étira, se mit debout, battit l’air de ses deux pattes-avant, comme pour implorer l’aide des deux humains qui l’observaient. Il donna des coups de pattes par-ci, par-là, se raidit, s’étendit, tournoya à plusieurs reprises. Un moment il se tint immobile, roula les yeux, se tapota les deux « mains » comme s’il applaudissait une action victorieuse. Soudain, à la surprise des deux frères, le crapaud enfonça profondément une patte avant dans sa gueule, remua intensément, racla et agrippa ce met indélicat et indigeste qu’il prit le soin de déposer avec précaution. D’un bond vigoureux il se tint à bonne distance et se mit à observer cet étrange individu qui faillit l’expédier dans l’au-delà.
Toute cette scène de gymnastique de survit, provoqua chez les deux frères, un rire aux éclats, parcouru de quintes aigues. Ils redoublèrent de rire lorsqu’ils virent le batracien, comme soulagé par l’envol bruyant du scarabée, revenir à ses anciennes amours, les éphémères, mais cette fois avec beaucoup plus de précaution.
Tibo et Tibila ramenèrent tard dans la nuit une grosse quantité d’éphémères. Ils se couchèrent non sans avoir passé un moment encore à rire aux éclats à la pensée de ce spectacle rare et inédit.

descriptioncoolRe: Juste pour rire un peu

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Et pendant ce spectacle où était le narrateur Elmagnifico. Certainement un des frères moosé. Ne me dit pas que c'est le Prince et toi vous vous êtes retrouvés à la chasse aux éphémères? D'accord je sais que c'est un apport de calories et de protides pour le Prince question de remonter son courage pour la CAN qui s'annonce plus cardiaque. Je sais que nous allons y créer la sensation.

descriptioncoolRe: Juste pour rire un peu

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Megamonous, j'étais juste à côté car un prince m'avait chargé de lui fournir des crapauds en quantité. Seulement, à la vue de ce spectacle hallucinant j'ai décidé de le narrer, question d'épargner peut être la race des batraciens. Même si ce ne sera pas aisé car sur le trajet Ouagadougou - Koupéla il y a toute une province qui en raffole!

descriptioncoolRe: Juste pour rire un peu

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Je connais le nom de cette ville pour y avoir servi 3mois. La nuit j'ai vu les enfants autour des coins humides et des puits pour les attraper. A quelques km du chef-lieu de province, il y a un barrage. Vous y trouverez de la viande de crapaud cuit à point.

descriptioncoolRe: Juste pour rire un peu

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Et moi je sais où tu veux m'emmener! Vas y seul! Car la plaisanterie à des limites. A la limite je me demande si ce n'est pas toi ce fameux Samogo mangeur de grenouilles qui a fait des ravages dans ces parages! Il semble qu'il a séjourné quelques mois à peine mais tant qu'il n'était pas absent pour mission, il était difficile de trouver le dolo et les crapauds rôtis!

descriptioncoolRe: Juste pour rire un peu

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Il semble (et j'ai tout le temps dit que ce n'était pas vrai) que le plat préféré du Président de l'Assemblée est la grenouille rôtie et sautée à la mayonnaise. Dans tous les cas je n'ai jamais crû à ça. Mais comme c'est de source digne d'intérêt, je me sens obligé de croire.

descriptioncoolRe: Juste pour rire un peu

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Et alors! C'est un met excellent! Et n'oublie pas que le précédent président de l'AN, en plus des samo, adorait la viande de chiens à tel enseigne qu'il était impossible d'en trouver à Ouagadougou!

descriptioncoolRe: Juste pour rire un peu

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Ah non je t'arrête! La viande de chien et d'âne à Ouaga, on sait qui en raffole. Tes parents ont créé un marché spécifique de ces mets à Saaba. Je te fais une confidence. Un de tes parents a créé à Bobo-Dioulasso une association avec un dagari. L'association est dénommé l'ACAMAB (Association des mangeurs de Chiens, Anes, de Margouillats et autres Animaux Bizarres). Il m'a fait des histoires alors qu'on était en sortie sur les cascades. Mon seul péché c'est d'avoir interdit au chauffeur de s'arrêter parce que mon cher Président a aperçu le cadavre d'un âne. Lui et le dagari m'en ont voulu jusqu'à ce que je quitte. Et voila à Ouaga aussi, tes parents de Saaba ne vont pas du dos de la cuillère avec les asins et les canidés. Simon pour les aider a déclaré une chasse ouverte aux chiens "errants". Tu me dira si le bourgmestre même n'est pas un friand?

descriptioncoolRe: Juste pour rire un peu

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