Les Etalons du Burkina Faso ne font plus bonne impression au niveau de la ligne offensive. Sur deux matchs joués à domicile et à l'extérieur en éliminatoires de la coupe du monde 2014, les poulains de l'entraîeneur Paul Put n'ont inscrit aucun but. Et pourtant, ce sont les mêmes qui ont brillé dans des compétitions récentes.
Personne ne s'attendait à un match nul de 0 à 0 des Etalons sur leur propre base au stade du 4-Août face aux Diables rouges du Congo Brazzaville. Les poulains de Paul Put, ce jour-là, ont pêché en attaque, perdant complètement le chemin des filets. Il y avait plus d'occasions de but pour les nôtres que pour leurs adversaires. Les dieux du football avaient abandonné Moumouni Dagano et ses camarades.
Et c'était la déception du public burkinabè. Une semaine plus tard, c'était le match suivant contre les Panthères du Gabon à Libreville. Là-bas, les choses n'ont pas aussi tourné même si les Etalons n'évoluaient pas devant leur public habituel. Ils ont encore fait preuve de maladresses face aux cages de l'adversaire avec des possibilités de scorer. Paul Put démarre ainsi mal avec sa nouvelle équipe.
Mais disons que rien n'est encore perdu pour nos ambassadeurs du football et qu'il ne faut pas leur jeter la pierre car nous sommes en sport. Il leur reste quatre matchs à jouer dans cette compétition.
Et avec le long temps qui sépare la deuxième journée de la troisième, tout peut basculer au profit de la sélection nationale du Burkina Faso, même en septembre pour le dernier tour des éliminatoires de la CAN 2013.
Il suffit de corriger les erreurs des attaquants ; surtout garder le sang-froid et avoir de la concentration au moment de l'exécution du tir devant les buts. Des exercices pour la ligne offensive doivent être multipliés pour permettre aux attaquants de retrouver leur sens de buteur. Croyons aux Etalons pour les prochaines échéances.
Par Fernand Kouda
Personne ne s'attendait à un match nul de 0 à 0 des Etalons sur leur propre base au stade du 4-Août face aux Diables rouges du Congo Brazzaville. Les poulains de Paul Put, ce jour-là, ont pêché en attaque, perdant complètement le chemin des filets. Il y avait plus d'occasions de but pour les nôtres que pour leurs adversaires. Les dieux du football avaient abandonné Moumouni Dagano et ses camarades.
Et c'était la déception du public burkinabè. Une semaine plus tard, c'était le match suivant contre les Panthères du Gabon à Libreville. Là-bas, les choses n'ont pas aussi tourné même si les Etalons n'évoluaient pas devant leur public habituel. Ils ont encore fait preuve de maladresses face aux cages de l'adversaire avec des possibilités de scorer. Paul Put démarre ainsi mal avec sa nouvelle équipe.
Mais disons que rien n'est encore perdu pour nos ambassadeurs du football et qu'il ne faut pas leur jeter la pierre car nous sommes en sport. Il leur reste quatre matchs à jouer dans cette compétition.
Et avec le long temps qui sépare la deuxième journée de la troisième, tout peut basculer au profit de la sélection nationale du Burkina Faso, même en septembre pour le dernier tour des éliminatoires de la CAN 2013.
Il suffit de corriger les erreurs des attaquants ; surtout garder le sang-froid et avoir de la concentration au moment de l'exécution du tir devant les buts. Des exercices pour la ligne offensive doivent être multipliés pour permettre aux attaquants de retrouver leur sens de buteur. Croyons aux Etalons pour les prochaines échéances.
Par Fernand Kouda