[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]Le libero des Etalons Mamadou Tall est une des pièces maîtresse du système de jeu mis en place par le sélectionneur national des Etalons, Paulo Duarte. Fasozine.com l’a rencontré après le match contre le Syli national de Guinée à Accra. Peu bavard, mais très croyant, Mamadou Tall promet une bonne prestation des Etalons en Angola et s’en remet à Dieu pour sa carrière footballistique.
Fasozine.com: Les Etalons sont qualifiés pour la Coupe d’Afrique des nations Angola 2010. Quel sentiment cela vous procure-t-il?
Mamadou Tall : Je remercie Dieu pour cette qualification et félicite le peuple burkinabè pour son soutien. Notre objectif atteint, nous allons maintenant nous concentrer pour les phases finales, afin de faire une bonne prestation en Angola.
La fin du match a été supportée par la défense burkinabè. N’avez-vous pas craint une égalisation guinéenne à un certain moment?
Les matchs de ce genre sont toujours difficiles à négocier. Chaque équipe veut le remporter. C’est vrai, c’était difficile mais j’étais confiant et avec l’aide de mes camarades on a pu surmonter les difficultés qui se sont présentées. Je remercie tous les joueurs car on a tous fait preuve de solidarité
Avec un peu de recul comment appréciez-vous la double confrontation avec les Eléphants de la Côte d’Ivoire ?
Le match est passé, je préfère ne pas en parler. J’aime toujours me projeter vers l’avenir.
Après 2 matchs à l’extérieur vous retrouverez vos fans au stade du 4-Août, le 14 novembre prochain contre le Malawi...
Le match contre le Malawi n’est pas un match à pression mais ce n’est pas pour autant que nous allons sous estimer l’adversaire ou baisser les bras. Nous allons le jouer comme tous les autres matchs et nous battre pour la victoire. Comme nous jouons à domicile nous allons faire plaisir au public. Le match d’Abidjan est toujours dans nos têtes et nous marque beaucoup. C’est pourquoi nous voulons rassurer le public contre le Malawi afin de nous faire pardonner par nos fans.
Vous évoluez à Liera dans le championnat portugais avec 4 autres joueurs Burkinabè. Comment s’est faite votre intégration?
Les choses évoluent positivement en club pour moi. Je joue tous les matchs du championnat et tout ce passe bien avec mes encadreurs et mes camarades. Nous sommes au moins 4 Burkinabè dans ce club et nous nous entendons très bien. Chacun de nous s’est bien intégré. Les Portugais sont «sympas» avec nous et nous sommes contents de jouer dans ce club. Notre club est 8e au classement, sur 16. Nous comptons être dans le peloton de tête à la fin du championnat.
Des clubs s’intéresseraient de plus en plus à Tall et du coup, vos fans se demandent si vous terminerai la saison au Portugal...
Je salue tous mes fans et leur renouvelle mes remerciements pour tout ce qu’ils font pour moi. Je ferai toujours mon boulot correctement et le reste je m’en remets à Dieu. Chacun a son destin dans la vie. Pour le moment je me sens bien au Portugal et c’est l’essentiel. Le moment venu on verra bien si des clubs s’intéressent à moi.
Tall est aussi si peu bavard avec ses camarades ?
L’ambiance est très bonne au sein du groupe. On est tous heureux de se rencontrer et chaque regroupement est un plaisir. C’est peut-être ma nature. L’essentiel pour moi c’est de bien faire son travail.
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Fasozine.com: Les Etalons sont qualifiés pour la Coupe d’Afrique des nations Angola 2010. Quel sentiment cela vous procure-t-il?
Mamadou Tall : Je remercie Dieu pour cette qualification et félicite le peuple burkinabè pour son soutien. Notre objectif atteint, nous allons maintenant nous concentrer pour les phases finales, afin de faire une bonne prestation en Angola.
La fin du match a été supportée par la défense burkinabè. N’avez-vous pas craint une égalisation guinéenne à un certain moment?
Les matchs de ce genre sont toujours difficiles à négocier. Chaque équipe veut le remporter. C’est vrai, c’était difficile mais j’étais confiant et avec l’aide de mes camarades on a pu surmonter les difficultés qui se sont présentées. Je remercie tous les joueurs car on a tous fait preuve de solidarité
Avec un peu de recul comment appréciez-vous la double confrontation avec les Eléphants de la Côte d’Ivoire ?
Le match est passé, je préfère ne pas en parler. J’aime toujours me projeter vers l’avenir.
Après 2 matchs à l’extérieur vous retrouverez vos fans au stade du 4-Août, le 14 novembre prochain contre le Malawi...
Le match contre le Malawi n’est pas un match à pression mais ce n’est pas pour autant que nous allons sous estimer l’adversaire ou baisser les bras. Nous allons le jouer comme tous les autres matchs et nous battre pour la victoire. Comme nous jouons à domicile nous allons faire plaisir au public. Le match d’Abidjan est toujours dans nos têtes et nous marque beaucoup. C’est pourquoi nous voulons rassurer le public contre le Malawi afin de nous faire pardonner par nos fans.
Vous évoluez à Liera dans le championnat portugais avec 4 autres joueurs Burkinabè. Comment s’est faite votre intégration?
Les choses évoluent positivement en club pour moi. Je joue tous les matchs du championnat et tout ce passe bien avec mes encadreurs et mes camarades. Nous sommes au moins 4 Burkinabè dans ce club et nous nous entendons très bien. Chacun de nous s’est bien intégré. Les Portugais sont «sympas» avec nous et nous sommes contents de jouer dans ce club. Notre club est 8e au classement, sur 16. Nous comptons être dans le peloton de tête à la fin du championnat.
Des clubs s’intéresseraient de plus en plus à Tall et du coup, vos fans se demandent si vous terminerai la saison au Portugal...
Je salue tous mes fans et leur renouvelle mes remerciements pour tout ce qu’ils font pour moi. Je ferai toujours mon boulot correctement et le reste je m’en remets à Dieu. Chacun a son destin dans la vie. Pour le moment je me sens bien au Portugal et c’est l’essentiel. Le moment venu on verra bien si des clubs s’intéressent à moi.
Tall est aussi si peu bavard avec ses camarades ?
L’ambiance est très bonne au sein du groupe. On est tous heureux de se rencontrer et chaque regroupement est un plaisir. C’est peut-être ma nature. L’essentiel pour moi c’est de bien faire son travail.
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