[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Alors que la Fifa se réunit ce mercredi 2 décembre 2009 en Afrique du Sud
pour examiner le fonctionnement de la structure après les tourments
qu’elle traverse en ce moment, les journalistes sud-africains montent
au créneau pour dénoncer un nouveau règlement qui leur a été proposé
dans le cadre de la couverture de la coupe du monde.
La main de Thierry Henry, l’arbitrage à 5, l’introduction de la vidéo dans
le football et la requête de l’Irlande qui souhaite participer au
mondial comme 33e équipe…, les sujets brûlants ne manqueront
pas à la traditionnelle rencontre du comité exécutif de la Fifa,
organisée avant chaque mondial. Cette rencontre, la première qui se
tient sur le continent africain, se déroule dans un contexte
particulier. Outre les polémiques soulevées ça et là au lendemain de la
fin des phases de qualification, les journalistes sud-africains, réunis
au sein du Forum des éditeurs sud-africains (Sanef), remettent en cause
une clause jugée limitative et contraignante pour les reporters accrédités.
Les journalistes sud-africains rejettent notamment un paragraphe de l’accord, qui stipule, selon nos confères de [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien],
que «tout comportement nuisant à l’image de la Fifa ou du comité local
d’organisation pourra être sanctionné par un retrait de
l’accréditation». Et les journalistes sud-africains de s’interroger sur
les intentions de l’instance mondiale du football. Car selon eux, c’est
une manière de museler la presse et de faire le black-out sur les
multiples grèves et manifestations, notamment celles des ouvriers
chargés de la construction des stades et des infrastructures sportives
dans ce pays très syndiqué. Les journalistes sont mobilisés et
déterminés à en découdre, car ils affirment avoir été «piégés», puisque
«l’adhésion à la charte de la Fifa s’est faite via le site Internet de
la Fédération. Et ce n’est qu’une fois l’accord signé que les
journalistes se sont aperçus du manège et des restrictions qui les concernaient», expliquent-ils.
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Alors que la Fifa se réunit ce mercredi 2 décembre 2009 en Afrique du Sud
pour examiner le fonctionnement de la structure après les tourments
qu’elle traverse en ce moment, les journalistes sud-africains montent
au créneau pour dénoncer un nouveau règlement qui leur a été proposé
dans le cadre de la couverture de la coupe du monde.
La main de Thierry Henry, l’arbitrage à 5, l’introduction de la vidéo dans
le football et la requête de l’Irlande qui souhaite participer au
mondial comme 33e équipe…, les sujets brûlants ne manqueront
pas à la traditionnelle rencontre du comité exécutif de la Fifa,
organisée avant chaque mondial. Cette rencontre, la première qui se
tient sur le continent africain, se déroule dans un contexte
particulier. Outre les polémiques soulevées ça et là au lendemain de la
fin des phases de qualification, les journalistes sud-africains, réunis
au sein du Forum des éditeurs sud-africains (Sanef), remettent en cause
une clause jugée limitative et contraignante pour les reporters accrédités.
Les journalistes sud-africains rejettent notamment un paragraphe de l’accord, qui stipule, selon nos confères de [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien],
que «tout comportement nuisant à l’image de la Fifa ou du comité local
d’organisation pourra être sanctionné par un retrait de
l’accréditation». Et les journalistes sud-africains de s’interroger sur
les intentions de l’instance mondiale du football. Car selon eux, c’est
une manière de museler la presse et de faire le black-out sur les
multiples grèves et manifestations, notamment celles des ouvriers
chargés de la construction des stades et des infrastructures sportives
dans ce pays très syndiqué. Les journalistes sont mobilisés et
déterminés à en découdre, car ils affirment avoir été «piégés», puisque
«l’adhésion à la charte de la Fifa s’est faite via le site Internet de
la Fédération. Et ce n’est qu’une fois l’accord signé que les
journalistes se sont aperçus du manège et des restrictions qui les concernaient», expliquent-ils.