$10 000 pour aider le TP Mazembe. C’est la grave accusation qu’ont lancé les arbitres égyptiens du seizièmes de finale de la Ligue africaine des Champions entre le champion d’Afrique en titre et le Simba Sports Club. La Confédération africaine de football a été prévenue.
Double vainqueur de la Ligue africaine des Champions, finaliste de la Coupe du monde des clubs, le Tout Puissant Mazembe est sans conteste le meilleur club africain du moment. Et si cette domination reposait sur du vent ?
En effet, la Confédération africaine de football a confirmé en début de semaine avoir reçu des plaintes des arbitres égyptiens de la rencontre entre le club congolais et les Tanzaniens du Simba Sports Club, en seizièmes de finale de la Ligue des Champions. En effet, Al Ahram a révélé que les arbitres Yasser Abderraouf, Fahim Omar, Ahmed Dajich et Charif Salah, auraient fait l’objet d’une tentative de corruption de la part d’intermédiaires, se présentant comme représentants du TP Mazembe. L’arbitre principal s’est ainsi vu proposer $10 000 par tête pour faciliter la qualification des Corbeaux. Devant son refus et ses vaines tentatives pour alerter la police, le corps arbitral a essuyé des menaces de mort. De retour au Caire, ils ont remis un rapport détaillé à la CAF qui devrait se prononcer dans les jours à venir.
La CAF va mener l’enquête
De son côté, Aden Rage, président de la formation de Dar es Salaam, affirme avoir saisi la Fédération tanzanienne de football afin de suivre cette affaire au niveau de la l’instance africaine. Selon les dispositions du code disciplinaire de la CAF, l’article 24 plus précisément, le TP Mazembe double vainqueur en titre de la Ligue de champions risque jusqu’à trois ans de suspension de toutes compétitions organisées par celle-ci. Pour rappel, le TPM s’est qualifié pour le prochain tour (3-1, 3-2).
Une nouvelle polémique qui entoure le club de Moïse Katumbi Chapwe, gouverneur de la province du Katanga et richissime homme d’affaires. Après la suspension pour violences envers un arbitre de Trésor Mputu, buteur et capitaine, le TP Mazembe avait été accusé de corruption par la presse tunisienne, furieuse de voir l’ES Tunis se faire battre aussi largement lors de la finale de la Ligue des Champions 2010 (5-0, 1-1).
Double vainqueur de la Ligue africaine des Champions, finaliste de la Coupe du monde des clubs, le Tout Puissant Mazembe est sans conteste le meilleur club africain du moment. Et si cette domination reposait sur du vent ?
En effet, la Confédération africaine de football a confirmé en début de semaine avoir reçu des plaintes des arbitres égyptiens de la rencontre entre le club congolais et les Tanzaniens du Simba Sports Club, en seizièmes de finale de la Ligue des Champions. En effet, Al Ahram a révélé que les arbitres Yasser Abderraouf, Fahim Omar, Ahmed Dajich et Charif Salah, auraient fait l’objet d’une tentative de corruption de la part d’intermédiaires, se présentant comme représentants du TP Mazembe. L’arbitre principal s’est ainsi vu proposer $10 000 par tête pour faciliter la qualification des Corbeaux. Devant son refus et ses vaines tentatives pour alerter la police, le corps arbitral a essuyé des menaces de mort. De retour au Caire, ils ont remis un rapport détaillé à la CAF qui devrait se prononcer dans les jours à venir.
La CAF va mener l’enquête
De son côté, Aden Rage, président de la formation de Dar es Salaam, affirme avoir saisi la Fédération tanzanienne de football afin de suivre cette affaire au niveau de la l’instance africaine. Selon les dispositions du code disciplinaire de la CAF, l’article 24 plus précisément, le TP Mazembe double vainqueur en titre de la Ligue de champions risque jusqu’à trois ans de suspension de toutes compétitions organisées par celle-ci. Pour rappel, le TPM s’est qualifié pour le prochain tour (3-1, 3-2).
Une nouvelle polémique qui entoure le club de Moïse Katumbi Chapwe, gouverneur de la province du Katanga et richissime homme d’affaires. Après la suspension pour violences envers un arbitre de Trésor Mputu, buteur et capitaine, le TP Mazembe avait été accusé de corruption par la presse tunisienne, furieuse de voir l’ES Tunis se faire battre aussi largement lors de la finale de la Ligue des Champions 2010 (5-0, 1-1).