Bakary Koné, coeur de Lyon
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Il y a quelques mois, il jouait en National. Voilà désormais Bakary Koné prêt à affronter les Lionel Messi (FC Barcelone), Wayne Rooney (Manchester United), Cristiano Ronaldo (Real Madrid) et autres Didier Drogba (Chelsea) lors de la phase finale de la Ligue des Champions 2011-2012.
Arrivé sur la pointe des pieds dans le Rhône, Bakary Koné est en train de se faire une place au soleil. Face au Rubin Kazan, alors que les Lyonnais étaient menés dans le Tatarstan et soudain sous haute pression, c’est le défenseur burkinabè qui a jaillit pour marquer de la tête un but qui rassure ses coéquipiers (87e).
Un but qui vaut de l’or puisqu’il qualifie l’OL pour sa douzième les protégés de Jean-Michel Aulas pour leur douzième phase de groupes de la Ligue des Champions d’affiliée. En un coup de tête salvateur, Koné a déjà remboursé son transfert de Guingamp (2 M€ plus 1 M€ de bonus). Lyon s’en félicite déjà. "Il va être un très bon défenseur. C’est un gamin à l’écoute, qui regarde ce qui se passe", assurait Bernard Lacombe après la rencontre de mercredi.
Apprentissage express
L’intéressé, 23 ans et seulement deux matches de Ligue 1 dans les pattes, refuse de s’enflammer. "C’est un rêve mais la réalité est là. Et la réalité, c’est que je dois continuer d’apprendre et me concentrer sur ce qu’il y a à faire, expliquait un Koné qui vient de livrer son match le plus abouti sous ses nouvelles couleurs. Ce but me fait beaucoup de bien. Dans le vestiaire, il y avait beaucoup de joie. Tous les joueurs étaient contents. On a fait une petite dans mais c’est tout."
Parfois limite sur certaines interventions, l’ancien joueur de l’EF Ouagadougou, coupable sur le but du Rubin Kazan, a survolé la rencontre grâce à son placement et son impact dans les duels. Une présence qui a bien aidé un OL un brin en-deçà. Désormais, c’est la Ligue des Champions, la vraie, qui attend les septuples champions de France. Et Koné, désormais titulaire devant les internationaux croate (Lovren), brésilien (Cris) ou ghanéen (Mensah) peut continuer à rêver.
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Il y a quelques mois, il jouait en National. Voilà désormais Bakary Koné prêt à affronter les Lionel Messi (FC Barcelone), Wayne Rooney (Manchester United), Cristiano Ronaldo (Real Madrid) et autres Didier Drogba (Chelsea) lors de la phase finale de la Ligue des Champions 2011-2012.
Arrivé sur la pointe des pieds dans le Rhône, Bakary Koné est en train de se faire une place au soleil. Face au Rubin Kazan, alors que les Lyonnais étaient menés dans le Tatarstan et soudain sous haute pression, c’est le défenseur burkinabè qui a jaillit pour marquer de la tête un but qui rassure ses coéquipiers (87e).
Un but qui vaut de l’or puisqu’il qualifie l’OL pour sa douzième les protégés de Jean-Michel Aulas pour leur douzième phase de groupes de la Ligue des Champions d’affiliée. En un coup de tête salvateur, Koné a déjà remboursé son transfert de Guingamp (2 M€ plus 1 M€ de bonus). Lyon s’en félicite déjà. "Il va être un très bon défenseur. C’est un gamin à l’écoute, qui regarde ce qui se passe", assurait Bernard Lacombe après la rencontre de mercredi.
Apprentissage express
L’intéressé, 23 ans et seulement deux matches de Ligue 1 dans les pattes, refuse de s’enflammer. "C’est un rêve mais la réalité est là. Et la réalité, c’est que je dois continuer d’apprendre et me concentrer sur ce qu’il y a à faire, expliquait un Koné qui vient de livrer son match le plus abouti sous ses nouvelles couleurs. Ce but me fait beaucoup de bien. Dans le vestiaire, il y avait beaucoup de joie. Tous les joueurs étaient contents. On a fait une petite dans mais c’est tout."
Parfois limite sur certaines interventions, l’ancien joueur de l’EF Ouagadougou, coupable sur le but du Rubin Kazan, a survolé la rencontre grâce à son placement et son impact dans les duels. Une présence qui a bien aidé un OL un brin en-deçà. Désormais, c’est la Ligue des Champions, la vraie, qui attend les septuples champions de France. Et Koné, désormais titulaire devant les internationaux croate (Lovren), brésilien (Cris) ou ghanéen (Mensah) peut continuer à rêver.