16es de finale aller de la Coupe CAF, EFO-ASEC : Les stellistes veulent briser le mythe mimosas
vendredi 23 mars 2012
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L’Etoile filante de Ouagadougou (EFO) croise samedi 24 mars 2012 au stade du 4-Août à 16h, l’ASEC Mimosas d’Abidjan de la Côte d’Ivoire en 16es de finale aller de la Coupe de la Confédération africaine de football (CAF). L’objectif pour le représentant burkinabè, est la victoire, en vue de négocier le match retour, sous de meilleurs auspices.
Après l’étape victorieuse des Dragons de Ouemé du Bénin lors du tour préliminaire de la Coupe de la Confédération africaine de football (CAF), l’Etoile filante de Ouagadougou (EFO) met le cap sur la Côte d’Ivoire. Elle reçoit le samedi 24 mars 2012 à 16h au stade du 4-Aout de Ouagadougou l’ASEC Mimosas d’Abidjan en 16es de finale aller. Malgré l’absence de compétition, l’objectif de l’EFO, selon son coach Séraphin Dargani, est la victoire en vue de négocier le match retour sous de meilleurs auspices. « Pour arriver à cela, nous allons garder la tête haute et jouer sans complexe », prévient-il.
L’entraîneur de l’EFO se réjouit que l’infirmerie de son équipe soit sans locataire. « Il n’y a pas de blessés ». C’est donc une équipe stélliste au complet qui sera face aux Mimosas. Pour aborder cette rencontre, les « bleu et blanc » « à défaut de moyens » n’ont pas été mis au vert pour plus de sérénité dans la préparation. Nonobstant cela, l’EFO a un challenge historique face aux « jaune et noir » de l’ASEC. En effet, en cas de victoire du représentant burkinabè, cela sera la première fois qu’elle y arrive après plusieurs confrontations de ce genre de par le passé.
Quoi de plus normal pour remotiver les joueurs à se battre pour rentrer dans l’histoire. L’ASEC, on le sait, n’est plus la même qui disputaient les matchs de poules de la Ligue africaine des champions, chaque saison. Ce qui n’est pas de l’avis du coach Dargani, qui estime que les grands clubs ne meurent jamais. « Rien que le nom fait peur » a –t-il dit. Ce qui est sûr, l’ASEC a 3 matchs de championnat dans les jambes et occupe présentement, la première place au classement dans la poule B du championnat ivoirien. Ce qui n’est pas rien. L’EFO est prévenue. Elle doit ainsi trouver les ressources nécessaires pour contrer cette formation, à commencer par le combat physique.
Yves OUEDRAOGO
Sidwaya
vendredi 23 mars 2012
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L’Etoile filante de Ouagadougou (EFO) croise samedi 24 mars 2012 au stade du 4-Août à 16h, l’ASEC Mimosas d’Abidjan de la Côte d’Ivoire en 16es de finale aller de la Coupe de la Confédération africaine de football (CAF). L’objectif pour le représentant burkinabè, est la victoire, en vue de négocier le match retour, sous de meilleurs auspices.
Après l’étape victorieuse des Dragons de Ouemé du Bénin lors du tour préliminaire de la Coupe de la Confédération africaine de football (CAF), l’Etoile filante de Ouagadougou (EFO) met le cap sur la Côte d’Ivoire. Elle reçoit le samedi 24 mars 2012 à 16h au stade du 4-Aout de Ouagadougou l’ASEC Mimosas d’Abidjan en 16es de finale aller. Malgré l’absence de compétition, l’objectif de l’EFO, selon son coach Séraphin Dargani, est la victoire en vue de négocier le match retour sous de meilleurs auspices. « Pour arriver à cela, nous allons garder la tête haute et jouer sans complexe », prévient-il.
L’entraîneur de l’EFO se réjouit que l’infirmerie de son équipe soit sans locataire. « Il n’y a pas de blessés ». C’est donc une équipe stélliste au complet qui sera face aux Mimosas. Pour aborder cette rencontre, les « bleu et blanc » « à défaut de moyens » n’ont pas été mis au vert pour plus de sérénité dans la préparation. Nonobstant cela, l’EFO a un challenge historique face aux « jaune et noir » de l’ASEC. En effet, en cas de victoire du représentant burkinabè, cela sera la première fois qu’elle y arrive après plusieurs confrontations de ce genre de par le passé.
Quoi de plus normal pour remotiver les joueurs à se battre pour rentrer dans l’histoire. L’ASEC, on le sait, n’est plus la même qui disputaient les matchs de poules de la Ligue africaine des champions, chaque saison. Ce qui n’est pas de l’avis du coach Dargani, qui estime que les grands clubs ne meurent jamais. « Rien que le nom fait peur » a –t-il dit. Ce qui est sûr, l’ASEC a 3 matchs de championnat dans les jambes et occupe présentement, la première place au classement dans la poule B du championnat ivoirien. Ce qui n’est pas rien. L’EFO est prévenue. Elle doit ainsi trouver les ressources nécessaires pour contrer cette formation, à commencer par le combat physique.
Yves OUEDRAOGO
Sidwaya