Attiré par la France, Djakaridja Koné est sur le marché
Libre en juin prochain, Djakaridja Koné, le milieu de terrain défensif du Dinamo Bucarest (L1 roumaine), se verrait bien prendre la direction du championnat de France l'été prochain. L'international burkinabè se confie.
Attiré par la France, Djakaridja Koné est sur le marché, EXCLU365 - DINAMO BUCAREST / D.KONE, France
fb
Excellent :D3
Magnifique !
Triste
Décevant 2
Honteux
Enervant !!
Incroyable !
Djakaridja Koné, comment abordez-vous la dernière ligne droite de la saison ?
Pour l'instant, ça passe bien collectivement et individuellement. On a fait du très bon boulot pendant sept mois. On occupait la première place. Mais aujourd'hui, on a un peu reculé. Il nous reste cinq matchs pour relancer la machine. Ça commence dès samedi contre le CFR Cluj, le leader, qui a cinq points d'avance. C'est une première finale.
Comment vous trouvez-vous en Roumanie ?
Après un passage en Israël, c'est ma troisième saison ici. Je suis bien, mais j'ai envie de passer à autre chose, de relever un autre challenge. J'ai un peu fait le tour ici. C'est un bon tremplin. On ne parle pas beaucoup de ce championnat, mais il y a plusieurs joueurs très intéressants. Aujourd'hui, je suis prêt pour autre chose.
En avez-vous discuté avec vos dirigeants ?
Oui. J'arrive en fin de contrat, ils m'ont offert une prolongation de contrat. C'est très intéressant, mais ce n'est pas le moment d'en parler. Contrairement à ce qu'on a pu dire, je n'ai pas encore prolongé. On a encore un championnat à terminer et il y a aussi la finale de la Coupe de Roumanie (contre le Rapid Bucarest). Je rêve de terminer sur un doublé. D'autant plus que l'on a perdu la finale l'an passé. On a envie de rectifier le tir. Ca va être énorme. Les derbies sont toujours chauds. Ça va être une belle fête.
« Il y a des clubs qui me suivent »
Concernant votre avenir, avez-vous une préférence ?
J'ai un faible pour le championnat de France. J'ai plusieurs amis là-bas, notamment Charles Kaboré (Marseille) et Bakary Koné (Lyon), mais je ne ferme aucune porte (ndlr : l'international burkinabè a aussi des pistes en Espagne). Je sais qu'il y a des clubs qui me suivent, qui appellent le club. On verra à la fin de la saison.
Vous avez déjà failli rejoindre un club français lors du Mercato d'hiver...
Il y a eu des contacts, mais je devais participer à la CAN. C'est toujours une fierté de jouer pour son pays. Je n'ai pas de regrets. J'espère que ce n'est que partie remise.
Par le passé, on a notamment parlé de l'OM, non ?
Oui, je me souviens, mais je ne sais pas si c'était vrai. A l’époque, Marseille avait assisté un match entre le Burkina Faso et le Mali. C’est tout.
Libre en juin prochain, Djakaridja Koné, le milieu de terrain défensif du Dinamo Bucarest (L1 roumaine), se verrait bien prendre la direction du championnat de France l'été prochain. L'international burkinabè se confie.
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Magnifique !
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Enervant !!
Incroyable !
Djakaridja Koné, comment abordez-vous la dernière ligne droite de la saison ?
Pour l'instant, ça passe bien collectivement et individuellement. On a fait du très bon boulot pendant sept mois. On occupait la première place. Mais aujourd'hui, on a un peu reculé. Il nous reste cinq matchs pour relancer la machine. Ça commence dès samedi contre le CFR Cluj, le leader, qui a cinq points d'avance. C'est une première finale.
Comment vous trouvez-vous en Roumanie ?
Après un passage en Israël, c'est ma troisième saison ici. Je suis bien, mais j'ai envie de passer à autre chose, de relever un autre challenge. J'ai un peu fait le tour ici. C'est un bon tremplin. On ne parle pas beaucoup de ce championnat, mais il y a plusieurs joueurs très intéressants. Aujourd'hui, je suis prêt pour autre chose.
En avez-vous discuté avec vos dirigeants ?
Oui. J'arrive en fin de contrat, ils m'ont offert une prolongation de contrat. C'est très intéressant, mais ce n'est pas le moment d'en parler. Contrairement à ce qu'on a pu dire, je n'ai pas encore prolongé. On a encore un championnat à terminer et il y a aussi la finale de la Coupe de Roumanie (contre le Rapid Bucarest). Je rêve de terminer sur un doublé. D'autant plus que l'on a perdu la finale l'an passé. On a envie de rectifier le tir. Ca va être énorme. Les derbies sont toujours chauds. Ça va être une belle fête.
« Il y a des clubs qui me suivent »
Concernant votre avenir, avez-vous une préférence ?
J'ai un faible pour le championnat de France. J'ai plusieurs amis là-bas, notamment Charles Kaboré (Marseille) et Bakary Koné (Lyon), mais je ne ferme aucune porte (ndlr : l'international burkinabè a aussi des pistes en Espagne). Je sais qu'il y a des clubs qui me suivent, qui appellent le club. On verra à la fin de la saison.
Vous avez déjà failli rejoindre un club français lors du Mercato d'hiver...
Il y a eu des contacts, mais je devais participer à la CAN. C'est toujours une fierté de jouer pour son pays. Je n'ai pas de regrets. J'espère que ce n'est que partie remise.
Par le passé, on a notamment parlé de l'OM, non ?
Oui, je me souviens, mais je ne sais pas si c'était vrai. A l’époque, Marseille avait assisté un match entre le Burkina Faso et le Mali. C’est tout.