Dans un passé récent, quand on parlait Etalons, on voyait l’EFO et l’ASFA-Y, ces deux clubs, tête de pont du football national et pourvoyeurs de joueurs de l’équipe nationale. Des frères Gnimassou en passant par Diallo Mohamed dit “Vieux” et Amadou Traoré “le rouquin”, côté Jaune et vert, Mbemba Touré, Gualbert Kaboré, Alexis Ilboudo et Ibrahim Diarra pour ne citer qu’eux chez les Stéllistes, les Etalons avaient une identité de jeu. Les supporters rivalisaient par le nombre de joueurs de leur club sélectionnés en équipe nationale. Mais que cette époque semble déjà à des années lumières aujourd’hui. Des clubs comme l’ASFA-Y et l’EFO ne parviennent plus à fournir des éléments à la sélection nationale.
Dans un passé récent, quand on parlait Etalons, on voyait l’EFO et l’ASFA-Y, ces deux clubs, tête de pont du football national et pourvoyeurs de joueurs de l’équipe nationale. Des frères Gnimassou en passant par Diallo Mohamed dit “Vieux” et Amadou Traoré “le rouquin”, côté Jaune et vert, Mbemba Touré, Gualbert Kaboré, Alexis Ilboudo et Ibrahim Diarra pour ne citer qu’eux chez les Stéllistes, les Etalons avaient une identité de jeu. Les supporters rivalisaient par le nombre de joueurs de leur club sélectionnés en équipe nationale. Mais que cette époque semble déjà à des années lumières aujourd’hui. Des clubs comme l’ASFA-Y et l’EFO ne parviennent plus à fournir des éléments à la sélection nationale. Ils ont mal négocié le tournant dans le professionnalisme. Si l’Espagne domine le football mondial aujourd’hui, c’est parce que la Roja a su s’adosser à ces deux clubs que sont le Barça et le Réal. Si l’Egypte a régné sans partage sur le sport roi africain, il a su tirer bénéfice de la bonne santé de Al Ahly et du Zamalek, ses clubs phares. Si le Soudan effectue son retour sur l’échiquier footballistique africain c’est en particulier grâce à Al Hillal et El Merrick qui lui fournissent l’essentiel de ses joueurs. Que dire alors de la Côte d’Ivoire qui a accepté consentir des efforts et faire l’impasse sur la CAN 2004 avant de revenir en force et se faire porter à bout de bras par ses académiciens ? Les exemples sont légion concernant les clubs locaux qui font vivre leur équipe nationale, à travers les joueurs qu’ils fournissent. Les clubs burkinabè devront mettre en place une politique afin de ne pas laisser partir leur pépite rapidement vers le professionnalisme. Certes, les salaires ne sont pas conséquents pour les joueurs évoluant dans le championnat domestique, mais les joueurs devront chercher à confirmer leur prouesse deux ou trois saisons consécutives avant de penser à s’envoler vers l’eldorado européen. Cela sera un bon gage pour leur succès car ils se seront déjà forgé une carapace solide pour affronter la concurrence à l’étranger. S’il y a cette stabilité dans l’effectif des clubs pendant au moins trois ans, ceux-ci pourront aussi être compétitifs sur le plan africain et attireront de bons joueurs étrangers qui viendront relever le niveau du championnat national et partant, celui de l’équipe nationale. Béranger ILBOUDO Sidwaya
Grand PRINCEDELCO comparaison n'est pas raison.Si jadis les 2 grands clubs de notre chamionnat nous fournissaient des joueurs pour l'équipe nationale c'est parce que on n'avait assez de pros.Et l'exemple de l'Espagne n'est pas semblable au Burkina.L'Espagne c'est l'un des 4 meilleurs championnats professionnel du monde,tout le monde rêve de jouer un jour que ce soit au Barça ou au Real y compri les joueurs de l'ASFA-Y ou de l'EFO.la Cote d'Ivoire n'a aucun joueur local dans son effectif mais équipe de l'Afrique.aujord'8 le foot professionnel à pri une dimension considérable qu'on ne peut se permettre d'avoir un nationaliste.Mais n’empêche que si il y'a un joueur local qui sort du lot qu'on puisse le convoquer en sélection.
Notre football a mal à son organisation. les dirigeants d'hier étaient au devant parcequ'ils aimaient le foot (Noufou OUEDRAOGO, Georges R. MARSHALL, Cl Félix KIEMTARBOUM etc...). Aujourd'hui les gens viennent au foot pour plaire à un homme. Comment un club qui a du mal à payer ses joueurs peut garder un joueur dont il sait que son transfert peut lui apporter le double de son budget annuel. C'est vrai que "comparaison n'est pas raison", les équipes nationales peuvent effectivement s'appuyer sur les clubs locaux à conditions que ceux-ci aient une bonne organisation afin de pouvoir produire des locaux qui puissent rivaliser avec les footballeurs évoluant à l'exterieur.
C'est vrai que ventre vide n'a point d'oreilles.nos joueurs locaux vivotent ils sont mal payés on ne peut pas avoir un bon championnat avec les moyens qu'on met dans notre foot. si on a un peu percé c'est grace aux écoles de foot qui nous ont donné des PROS aujourd'hui.on peut s'appuyer sur ces deux clubs cités si on met les moyens mais sans moyens ce n'est pas possible. sachons raison gardé compter sur nos pros et inclure quelques joueurs locaux il nous reste encore beaucoup au niveau de nos clubs
Mon cher yarbila,je te souhaite la bienvenue sur le forum. Effectivement,nous avons ecrit a maintes reprises sur ce forum,qu'il faut confier la gestion de notre football aux amoureux,aux passionnes et aux hommes de valeur qui croient en la jeunesse Burkinabe.Malheureusement,tel n'est pas le cas. La premiere des choses a demander aux dirigeants est le respect des reglements interieurs des clubs.
Merci à toi dona et ä tous ces soldats de premières heures qui se battent au quotidien pour que ce forum vive. Le football burkinabé n'a besoin d'Homme fort mais d'une organisation forte.
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