CENTRAFRIQUE : MERCI LES FAUVES
A cause d'un résultat immérité au Burkina Faso, les centrafricains vont devoir passer très longtemps des nuits cauchemardesques. L'élimination de la République Centrafricaine de la CAN 2013, si elle devait se confirmer au niveau supérieur de la Confédération Africaine de Football, sera une injustice que ne méritent pas les FAUVES du Bas Oubangui.
La démonstration de cette injustice est simple à faire : En effet, sans le moindre incident de jeu en première mi-temps, on a assisté dans un premier temps à une prolongation de plus de cinq minutes. Prolongation qui va se répéter dans la deuxième mi-temps à près de six minutes, avec très peu de changements et d'arrêts de jeu pouvant la justifier. Nous espérons qu'une réserve pourra être portée par la délégation centrafricaine par rapport à cette prolongation indéterminée.
Dans l'ensemble, il faut féliciter les deux équipes, et même le public Burkinabe, pour leur comportement exemplaire. Espérons que cela serve de leçon dans toutes leurs confrontations africaines, surtout dans le domaine du sport, puisqu'on ne peut pas parler des mauvais appétits africains qu'on connaît dans d'autres domaines.
Les fauves ont livré un combat de haute qualité. Ils ont fait la preuve que le CENTRAFRIQUE regorge de talents inexploités pour ne pas dire souvent mal exploités. Il doivent comprendre qu'ils ont montré le chemin à ceux qui jusqu'ici, n'ont jamais fait l'effort de le percevoir.
C'est un acte à marquer d'une encre indélébile, pour que cela serve d'exemple dans le comportement des centrafricains dans tous les domaines, partout où ils se trouvent, quelle que soit la fonction qu'ils occupent. Le pays a besoin de ce genre de civisme. Deux fois coup sur coup, nous avons raté la qualification à la CAN.
La seule faute, le manque d'expérience internationale. Nous pouvons désormais tirer la leçon de ces deux échecs, pour prendre les dispositions nécessaires afin qu'ils ne se répètent plus. On voit bien qu'une victoire à domicile ne suffit pas, s'il n'est pas large car à l'extérieur, l'on ne vous fera aucun cadeau. A bon entendeur......
Les FAUVES, MERCI. MERCI car vous n'avez pas démérité, bien au contraire. Poursuivez votre route, vos frères ont besoin de vous, pour savoir quel chemin suivre.
Adolphe PAKOUA
A cause d'un résultat immérité au Burkina Faso, les centrafricains vont devoir passer très longtemps des nuits cauchemardesques. L'élimination de la République Centrafricaine de la CAN 2013, si elle devait se confirmer au niveau supérieur de la Confédération Africaine de Football, sera une injustice que ne méritent pas les FAUVES du Bas Oubangui.
La démonstration de cette injustice est simple à faire : En effet, sans le moindre incident de jeu en première mi-temps, on a assisté dans un premier temps à une prolongation de plus de cinq minutes. Prolongation qui va se répéter dans la deuxième mi-temps à près de six minutes, avec très peu de changements et d'arrêts de jeu pouvant la justifier. Nous espérons qu'une réserve pourra être portée par la délégation centrafricaine par rapport à cette prolongation indéterminée.
Dans l'ensemble, il faut féliciter les deux équipes, et même le public Burkinabe, pour leur comportement exemplaire. Espérons que cela serve de leçon dans toutes leurs confrontations africaines, surtout dans le domaine du sport, puisqu'on ne peut pas parler des mauvais appétits africains qu'on connaît dans d'autres domaines.
Les fauves ont livré un combat de haute qualité. Ils ont fait la preuve que le CENTRAFRIQUE regorge de talents inexploités pour ne pas dire souvent mal exploités. Il doivent comprendre qu'ils ont montré le chemin à ceux qui jusqu'ici, n'ont jamais fait l'effort de le percevoir.
C'est un acte à marquer d'une encre indélébile, pour que cela serve d'exemple dans le comportement des centrafricains dans tous les domaines, partout où ils se trouvent, quelle que soit la fonction qu'ils occupent. Le pays a besoin de ce genre de civisme. Deux fois coup sur coup, nous avons raté la qualification à la CAN.
La seule faute, le manque d'expérience internationale. Nous pouvons désormais tirer la leçon de ces deux échecs, pour prendre les dispositions nécessaires afin qu'ils ne se répètent plus. On voit bien qu'une victoire à domicile ne suffit pas, s'il n'est pas large car à l'extérieur, l'on ne vous fera aucun cadeau. A bon entendeur......
Les FAUVES, MERCI. MERCI car vous n'avez pas démérité, bien au contraire. Poursuivez votre route, vos frères ont besoin de vous, pour savoir quel chemin suivre.
Adolphe PAKOUA