Cette fois, il va falloir gagner. Pour rejoindre les quarts de finale de la CAN, sans avoir besoin de surveiller le résultat de Nigeria-Ethiopie (qui se déroulera à la même heure), la Zambie doit battre le Burkina Faso, ce mardi (18h00), lors de son troisième et ultime match du premier tour. Gagner, les Chipolopolo n'y sont pas parvenus lors de leurs deux premiers matches dans le tournoi : ils ont concédé le nul face à l'Ethiopie pour leur entrée en lice (1-1), avant d'arracher un point en fin de partie contre le Nigeria (1-1).
Face aux Super Eagles justement, Kennedy Mweene n'avait pas tremblé pour signer sur penalty le but égalisateur. Le gardien zambien ne tremble pas davantage lorsqu'il évoque le duel décisif face au Burkina Faso : «Nous savons travailler sous pression et la gérer», dit-il. Alors que la Zambie n'a pas encore son billet pour les quarts de finale, il voit déjà plus loin : «Nous savons combien c'est agréable d'être champions (les Zambiens sont tenants du titre), nous voulons rééditer cela.» Mwenee sait que ses coéquipiers et lui doivent être «vigilants» face au Burkina Faso, une «équipe solide», à qui un nul suffit pour rester en tête de ce groupe C. - Redaction
Hervé Renard (sélectionneur de la Zambie) : «Il est important d'avoir notre destin entre nos mains pour nous qualifier pour les quarts, une troisième fois. On est exactement comme en 2010, il fallait absolument battre le Gabon. Je préfère être dans cette situation-là, surtout avec des joueurs zambiens qui ont tendance à relâcher leur concentration. Aujourd'hui nous devons courir derrière les occasions ratées contre l'Ethiopie. Le réalisme, c'est d'abord une question de confiance. On doit essayer, on ne doit pas abandonner, parce que je suis sûr que ça va finir par rentrer. Ce serait une idée fantastique de le faire dès demain». (AFP)
Face aux Super Eagles justement, Kennedy Mweene n'avait pas tremblé pour signer sur penalty le but égalisateur. Le gardien zambien ne tremble pas davantage lorsqu'il évoque le duel décisif face au Burkina Faso : «Nous savons travailler sous pression et la gérer», dit-il. Alors que la Zambie n'a pas encore son billet pour les quarts de finale, il voit déjà plus loin : «Nous savons combien c'est agréable d'être champions (les Zambiens sont tenants du titre), nous voulons rééditer cela.» Mwenee sait que ses coéquipiers et lui doivent être «vigilants» face au Burkina Faso, une «équipe solide», à qui un nul suffit pour rester en tête de ce groupe C. - Redaction
Hervé Renard (sélectionneur de la Zambie) : «Il est important d'avoir notre destin entre nos mains pour nous qualifier pour les quarts, une troisième fois. On est exactement comme en 2010, il fallait absolument battre le Gabon. Je préfère être dans cette situation-là, surtout avec des joueurs zambiens qui ont tendance à relâcher leur concentration. Aujourd'hui nous devons courir derrière les occasions ratées contre l'Ethiopie. Le réalisme, c'est d'abord une question de confiance. On doit essayer, on ne doit pas abandonner, parce que je suis sûr que ça va finir par rentrer. Ce serait une idée fantastique de le faire dès demain». (AFP)