Aristide Bancé est la nouvelle star des Étalons. La CAN 2013 a particulièrement sourit à l’ancien joueur du Santos FC. Car c’est un Aristide Bancé transcendé que les Burkinabè sont en train de découvrir. L’amour entre lui et les Burkinabè est né suite à son but égalisateur contre le Ghana lors de la demi-finale. Pendant le même match, il prouve qu’il a un mental de fer en réalisant une panenka lors de la séance de tirs au but. Le Burkina est qualifié pour la première de son histoire en finale de la CAN. Depuis lors, l’actuel sociétaire d’Augsbourg (Allemagne) est adulé par le public. Ce sentiment s’est manifesté lors des éliminatoires de la 3ème journée de la Coupe du Monde 2014 contre le Niger. Chaque touche de balle de Bancé était fortement applaudit par le public du Stade du 4 août. Très combatif, il était à l’origine du premier but en délivrant une passe décisive bien inspirée à Jonathan Pitroipa avant de porter le score à 2 à 0 en premier mi-temps. Ce qui a fait accroître sa côte de popularité : même ses ratés sont applaudis.
Pourtant, tout ne fut pas rose pour Aristide Bancé. A la fin de la CAN 2012, il faisait parti des joueurs les plus critiqués de l’équipe nationale burkinabè. Mais avec Paul Put, l’attaquant des Étalons a trouvé ses marques, une nouvelle âme. Il y a quelques mois, personne n’aurait misé 5 francs sur lui. Ses ratés, son jeu brouillon, son manque de combativité supposé, faisaient de lui un mal aimé. La seule fois où il s’était illustré, c’était contre la Côte d’Ivoire à domicile lorsqu’il a réduit le score contre les Éléphants de Côte d’Ivoire au Stade du 4 août de Ouagadougou en 2009. Les Étalons s’étaient inclinés 3 à 2. Depuis ce match, il n’enregistrait que des contre-performances et avait du mal à obtenir une place de titulaire, barré par l’incontournable MOUMOUNI DAGANO.
Aristide Bancé pourtant a toujours cru en ses qualités, même s’il avait été maladroit dans ses propos quelquefois. Alors qu’il avait du mal à s’offrir une place de titulaire en Guinée Equatoriale, il a fait savoir qu’il pouvait jouer à n’importe quel poste même à celui de gardien de but. Pourtant, lorsqu’il a été aligné comme ailier contre le Soudan, il a perdu ses repères. Interrogé sur sa mauvaise prestation, le même joueur a reproché le fait qu’il ne soit pas aligné à la pointe de l’attaque. Tout cela est oublié
Pourtant, tout ne fut pas rose pour Aristide Bancé. A la fin de la CAN 2012, il faisait parti des joueurs les plus critiqués de l’équipe nationale burkinabè. Mais avec Paul Put, l’attaquant des Étalons a trouvé ses marques, une nouvelle âme. Il y a quelques mois, personne n’aurait misé 5 francs sur lui. Ses ratés, son jeu brouillon, son manque de combativité supposé, faisaient de lui un mal aimé. La seule fois où il s’était illustré, c’était contre la Côte d’Ivoire à domicile lorsqu’il a réduit le score contre les Éléphants de Côte d’Ivoire au Stade du 4 août de Ouagadougou en 2009. Les Étalons s’étaient inclinés 3 à 2. Depuis ce match, il n’enregistrait que des contre-performances et avait du mal à obtenir une place de titulaire, barré par l’incontournable MOUMOUNI DAGANO.
Aristide Bancé pourtant a toujours cru en ses qualités, même s’il avait été maladroit dans ses propos quelquefois. Alors qu’il avait du mal à s’offrir une place de titulaire en Guinée Equatoriale, il a fait savoir qu’il pouvait jouer à n’importe quel poste même à celui de gardien de but. Pourtant, lorsqu’il a été aligné comme ailier contre le Soudan, il a perdu ses repères. Interrogé sur sa mauvaise prestation, le même joueur a reproché le fait qu’il ne soit pas aligné à la pointe de l’attaque. Tout cela est oublié