Boubacar Ouédraogo : « Je Rêve Des Etalons Et De L’OM »
Boubacar Ouédraogo, jeune footballeur Burkinabè (21ans) évoluant au sein de la formation de Milsami-Ursidos (D1 Moldavie), club classé 4ème du championnat, a bien voulu accorder un entretien à Fasosport. L’ex-joueur du Santos FC nous parle de son arrivée en Moldavie et a évoqué avec nous le parcours des Etalons à la CAN 2013. Entretien.
Comment les contacts ont été noués entre toi et le club de Milsami-Ursidos?
Boubacar Ouédraogo (B.O) : Tout a été géré part mon manager. Il est venu me proposer une offre et j’ai trouvé que le club avait des projets intéressants. J’ai donc saisi ma chance sans hésiter.
En arrivant en Moldavie, tu as rencontré des difficultés pour t’adapter?
B.O : Oui un peu. Surtout à mes débuts. J’ai eu des difficultés avec la langue. Mais par la grâce de Dieu j’ai fini par m’adapter. Aujourd’hui j’arrive à m’exprimer un peu dans la langue.
Les autres burkinabè de Moldavie (Rouamba, Balima et Guira) t’ont un peu aidé à t’intégrer?
B.O : Oui ils m’ont beaucoup aidé. Même hier soir (entretien réalisé le 16 avril : NDLR) j’étais avec Guira et Balima au téléphone. Rouamba a quitté la Moldavie mais on est resté en contact. Nous nous écrivons régulièrement.
C’est bien ta première saison en Moldavie, alors dis nous dans quel registre on t’utilise du côté de Milsami-Ursidos?
B.O : J’évolue régulièrement au poste de milieu de terrain. Mais il arrive que le coach m’utilise comme attaquant pour profiter de ma pointe de vitesse.
Quel est le championnat où tu souhaites évoluer après la Moldavie ?
B.O : Présentement mon rêve c’est de jouer un jour en Ligue 1 française. Le club qui m’attire le plus en France c’est l’Olympique de Marseille. Mais pour l’instant je continue ma progression avec Milsami FC et après Dieu décidera du reste.
Comment as-tu vécu le beau parcours des étalons à la CAN?
B.O : C’était excellent ! Vraiment j’étais trop content pour mes aînés. Dans la période où la CAN se jouait, j’étais en stage en Turquie avec mon club mais j’ai pu suivre tous les matchs des Etalons jusqu’en finale contre le Nigeria.
Tes coéquipiers en club, ils te parlaient souvent des rencontres des étalons?
B.O : Oui tout le temps ! Après chaque match ils venaient me rappeler le score ou souvent ils me demandent la date du prochain match des Etalons. Dans mon équipe, il y a un Nigérian, un Ghanéen et un Ivoirien. Donc on se chambrait beaucoup sur les résultats de nos sélections. En tout cas j’ai bien vécu la Coupe d’Afrique des Nations.
Les étalons tu y penses souvent?
B.O : Oui c’est mon rêve de tous les jours.
Tu as des nouvelles de ton ancien club le Santos FC?
B.O : Absolument ! Souvent je regarde leurs résultats après un match du championnat sur Fasosport. Je suis très content du début de championnat qu’ils font.
Tu as un dernier mot à l’endroit du public Burkinabè ?
B.O : Je ne peux que remercier ce beau public qui continue de soutenir ses footballeurs. Je leur demande de continuer sur la même lancée. Seul Allah est la clé de tout succès. Nous de notre côté on va continuer le travail pour les émerveiller un jour Inch’Allah.
Propos recueillis par Péma Gaël BAYALA
Boubacar Ouédraogo, jeune footballeur Burkinabè (21ans) évoluant au sein de la formation de Milsami-Ursidos (D1 Moldavie), club classé 4ème du championnat, a bien voulu accorder un entretien à Fasosport. L’ex-joueur du Santos FC nous parle de son arrivée en Moldavie et a évoqué avec nous le parcours des Etalons à la CAN 2013. Entretien.
Comment les contacts ont été noués entre toi et le club de Milsami-Ursidos?
Boubacar Ouédraogo (B.O) : Tout a été géré part mon manager. Il est venu me proposer une offre et j’ai trouvé que le club avait des projets intéressants. J’ai donc saisi ma chance sans hésiter.
En arrivant en Moldavie, tu as rencontré des difficultés pour t’adapter?
B.O : Oui un peu. Surtout à mes débuts. J’ai eu des difficultés avec la langue. Mais par la grâce de Dieu j’ai fini par m’adapter. Aujourd’hui j’arrive à m’exprimer un peu dans la langue.
Les autres burkinabè de Moldavie (Rouamba, Balima et Guira) t’ont un peu aidé à t’intégrer?
B.O : Oui ils m’ont beaucoup aidé. Même hier soir (entretien réalisé le 16 avril : NDLR) j’étais avec Guira et Balima au téléphone. Rouamba a quitté la Moldavie mais on est resté en contact. Nous nous écrivons régulièrement.
C’est bien ta première saison en Moldavie, alors dis nous dans quel registre on t’utilise du côté de Milsami-Ursidos?
B.O : J’évolue régulièrement au poste de milieu de terrain. Mais il arrive que le coach m’utilise comme attaquant pour profiter de ma pointe de vitesse.
Quel est le championnat où tu souhaites évoluer après la Moldavie ?
B.O : Présentement mon rêve c’est de jouer un jour en Ligue 1 française. Le club qui m’attire le plus en France c’est l’Olympique de Marseille. Mais pour l’instant je continue ma progression avec Milsami FC et après Dieu décidera du reste.
Comment as-tu vécu le beau parcours des étalons à la CAN?
B.O : C’était excellent ! Vraiment j’étais trop content pour mes aînés. Dans la période où la CAN se jouait, j’étais en stage en Turquie avec mon club mais j’ai pu suivre tous les matchs des Etalons jusqu’en finale contre le Nigeria.
Tes coéquipiers en club, ils te parlaient souvent des rencontres des étalons?
B.O : Oui tout le temps ! Après chaque match ils venaient me rappeler le score ou souvent ils me demandent la date du prochain match des Etalons. Dans mon équipe, il y a un Nigérian, un Ghanéen et un Ivoirien. Donc on se chambrait beaucoup sur les résultats de nos sélections. En tout cas j’ai bien vécu la Coupe d’Afrique des Nations.
Les étalons tu y penses souvent?
B.O : Oui c’est mon rêve de tous les jours.
Tu as des nouvelles de ton ancien club le Santos FC?
B.O : Absolument ! Souvent je regarde leurs résultats après un match du championnat sur Fasosport. Je suis très content du début de championnat qu’ils font.
Tu as un dernier mot à l’endroit du public Burkinabè ?
B.O : Je ne peux que remercier ce beau public qui continue de soutenir ses footballeurs. Je leur demande de continuer sur la même lancée. Seul Allah est la clé de tout succès. Nous de notre côté on va continuer le travail pour les émerveiller un jour Inch’Allah.
Propos recueillis par Péma Gaël BAYALA