Publié Samedi 18 Mai 2013 à 12h00 Dans : Lyon, Mercato, Ligue 1.
Souvent critiqué depuis qu’il a signé à l’OL en 2011, au point qu’on lui promettait un départ plus que probable de l’Olympique Lyonnais, Bakary Koné n’a cependant jamais baissé les bra. Et finalement le défenseur international burkinabé a trouvé sa place dans le onze de Rémi Garde, faisant taire ceux qui ne voyaient pas en lui un joueur capable de s’imposer. Dans le Progrès, celui que l’on surnomme Général Bako, revient sur sa période de galère à l’OL et avoue qu’il est décidé à rester dans le club de Jean-Michel Aulas.
« Je me suis accroché. Ce n’était pas évident. J’avais reçu un coup sur la tête, mais j’ai travaillé dur. Oui, c’est vrai, je reviens de loin. J’ai eu de longs mois sans jouer, ce n’était pas facile. A la Coupe d’Afrique, on afait un bon parcours avec le Burkina Faso, je me suis relancé. On a joué la finale, j’ai affronté de grands attaquants et quand je suis revenu sur Lyon, je me suis dit que je devais enchaîner, que j’avais tout pour réussir. J’ai eu les conseils du staff. Mes collègues et ma famille m’ont aidé ainsi que les critiques de la presse. Ça m’apermis de me remettre en question. Il y a eu d’autres critiques, mais bon… C’est la vie d’un sportif, il faut accepter certaines choses quand ça ne va pas, explique, dans le quotidien régional, le défenseur de l’Olympique Lyonnais, qui est clair sur son avenir. J’ai un gros contrat jusqu’en 2016, le club m’a fait confiance, et je suis prêt à lui rendre cette confiance. »
Souvent critiqué depuis qu’il a signé à l’OL en 2011, au point qu’on lui promettait un départ plus que probable de l’Olympique Lyonnais, Bakary Koné n’a cependant jamais baissé les bra. Et finalement le défenseur international burkinabé a trouvé sa place dans le onze de Rémi Garde, faisant taire ceux qui ne voyaient pas en lui un joueur capable de s’imposer. Dans le Progrès, celui que l’on surnomme Général Bako, revient sur sa période de galère à l’OL et avoue qu’il est décidé à rester dans le club de Jean-Michel Aulas.
« Je me suis accroché. Ce n’était pas évident. J’avais reçu un coup sur la tête, mais j’ai travaillé dur. Oui, c’est vrai, je reviens de loin. J’ai eu de longs mois sans jouer, ce n’était pas facile. A la Coupe d’Afrique, on afait un bon parcours avec le Burkina Faso, je me suis relancé. On a joué la finale, j’ai affronté de grands attaquants et quand je suis revenu sur Lyon, je me suis dit que je devais enchaîner, que j’avais tout pour réussir. J’ai eu les conseils du staff. Mes collègues et ma famille m’ont aidé ainsi que les critiques de la presse. Ça m’apermis de me remettre en question. Il y a eu d’autres critiques, mais bon… C’est la vie d’un sportif, il faut accepter certaines choses quand ça ne va pas, explique, dans le quotidien régional, le défenseur de l’Olympique Lyonnais, qui est clair sur son avenir. J’ai un gros contrat jusqu’en 2016, le club m’a fait confiance, et je suis prêt à lui rendre cette confiance. »