Alors qu’il avait été l’un des joueurs les plus utilisés sur la phase des matchs allers, Charles Kakoré a quitté précipitamment l’OM lors du mercato hivernal pour rejoindre le FC Kouban Krasnodar. Son ancien agent, Christophe Hutteau, nous a confié son sentiment sur ce transfert surprenant qui pouvait donner l’impression que les dirigeants olympiens l’avaient poussé vers la sortie.
« Je ne suis plus l’agent de Charles car nous avons eu des divergences par rapport à une multitude de choses. Après je n’ai pas l’impression qu’il a été mis à la porte, absolument pas. Je continue d’avoir Charles au téléphone, comme j’avais eu les dirigeants de l’OM à l’époque et je n’ai pas l’impression qu’il ait été mis à la porte par quiconque. Je pense surtout certaines personnes avaient intérêt à le voir partir. Je pense notamment a son agent ou ses agents. Il est évident qu ‘en restant à l’OM ils n’auraient rien perçu. Aujourd’hui en le faisant partir, ils ont pu percevoir une commission. C’est là ou on voit encore une fois qu’on ne fait pas le même travail. Moi je vois la carrière avant tout de mes joueurs et je ne raisonne pas d’un point de vue financier de prime abord parce que la pertinence sportive de partir là ou il est parti, il faut s’expliquer. »
« Je ne suis plus l’agent de Charles car nous avons eu des divergences par rapport à une multitude de choses. Après je n’ai pas l’impression qu’il a été mis à la porte, absolument pas. Je continue d’avoir Charles au téléphone, comme j’avais eu les dirigeants de l’OM à l’époque et je n’ai pas l’impression qu’il ait été mis à la porte par quiconque. Je pense surtout certaines personnes avaient intérêt à le voir partir. Je pense notamment a son agent ou ses agents. Il est évident qu ‘en restant à l’OM ils n’auraient rien perçu. Aujourd’hui en le faisant partir, ils ont pu percevoir une commission. C’est là ou on voit encore une fois qu’on ne fait pas le même travail. Moi je vois la carrière avant tout de mes joueurs et je ne raisonne pas d’un point de vue financier de prime abord parce que la pertinence sportive de partir là ou il est parti, il faut s’expliquer. »