Il a illuminé de son talent la rencontre Aiglons-Etalons juniors du 2è tour éliminatoires de la CAN U20. Pourtant, c'est rien que cette saison que le petit Zakaria Sanogho « Zaki » a été révélé au public grâce au retour de l'ASFB dans le championnat d'élite.
Tout a commencé pour lui vers l'âge de 6-7 ans pour ses débuts dans le sport roi. Une équipe du quartier bobolais appelée GTA l'accueille. Après c'est au tour de FC Koasa, de NAS de l'ancien international Ousmane Coulibaly « Tom », de FAC (un détour au FC Koasa) puis à Koubri de voir passer le jeune international junior. Entre temps, Zaki abandonne le football « parce que je n'avais plus l'envi et d'ambition ». Au vu de son talent, un de ses ainés du quartier le dissuade à revenir sur sa décision.
Il reprend ainsi de l'activité et participe au tournoi Airtel jeunes talents. Entre temps, il apprend que Rahim Ouédraogo a l'ambition de porter sur les fonts baptismaux un centre de formation. Le test de recrutement est ainsi lancé. Zaki y participe et réussit avec brio. Après un an de formation, Zaki avec quelques coéquipiers ont été jugés aptes à participer au championnat d'élite burkinabé. « Lorsque le président Rahim Ouédraogo nous a dit qu'il nous faisait confiance et que nous pouvons joueur en D1, l'on ne se croyait pas capable de le faire » se souvient-il.
Comparé déjà à Jonathan Pitroipa « mon idole » pour ses qualités de dribleurs, le jeune sociétaire de l'ASFB très modestement pense qu'il doit beaucoup travailler « dans tous les domaines » même s'il se reconnait certaines qualités comme la vitesse, les dribles « un don » et les centres. Ce jeune de 17 ans grand à un prés 1,63 m pour 53 kg rêve du professionnalisme et de porter les couleurs des Etalons A. « Je suis déjà allé faire des tests en Hollande au FC Twente et à Vitesse Ahrem.
Ça s'est avéré concluant. Mais comme je n'ai pas encore l'âge requise qui est de 18 ans, je dois prendre mon mal en patience » informe-t-il. Zaki ne tarit pas d'éloges sur le football burkinabé dont il trouve le niveau acceptable. Pour lui, son équipe l'ASFB peut être sacrée championne du Burkina Faso cette saison « parce que toutes les conditions sont réunies pour cela ». En attendant, le petit Zaki a promis de toujours régaler le public sportif burkinabé à qui il demande soutien et bénédiction. « Mon objectif est de ne pas le décevoir et je travaillerai pour cela ». Promesse de Zakaria Sanogho.
Yves OUEDRAOGO
Tout a commencé pour lui vers l'âge de 6-7 ans pour ses débuts dans le sport roi. Une équipe du quartier bobolais appelée GTA l'accueille. Après c'est au tour de FC Koasa, de NAS de l'ancien international Ousmane Coulibaly « Tom », de FAC (un détour au FC Koasa) puis à Koubri de voir passer le jeune international junior. Entre temps, Zaki abandonne le football « parce que je n'avais plus l'envi et d'ambition ». Au vu de son talent, un de ses ainés du quartier le dissuade à revenir sur sa décision.
Il reprend ainsi de l'activité et participe au tournoi Airtel jeunes talents. Entre temps, il apprend que Rahim Ouédraogo a l'ambition de porter sur les fonts baptismaux un centre de formation. Le test de recrutement est ainsi lancé. Zaki y participe et réussit avec brio. Après un an de formation, Zaki avec quelques coéquipiers ont été jugés aptes à participer au championnat d'élite burkinabé. « Lorsque le président Rahim Ouédraogo nous a dit qu'il nous faisait confiance et que nous pouvons joueur en D1, l'on ne se croyait pas capable de le faire » se souvient-il.
Comparé déjà à Jonathan Pitroipa « mon idole » pour ses qualités de dribleurs, le jeune sociétaire de l'ASFB très modestement pense qu'il doit beaucoup travailler « dans tous les domaines » même s'il se reconnait certaines qualités comme la vitesse, les dribles « un don » et les centres. Ce jeune de 17 ans grand à un prés 1,63 m pour 53 kg rêve du professionnalisme et de porter les couleurs des Etalons A. « Je suis déjà allé faire des tests en Hollande au FC Twente et à Vitesse Ahrem.
Ça s'est avéré concluant. Mais comme je n'ai pas encore l'âge requise qui est de 18 ans, je dois prendre mon mal en patience » informe-t-il. Zaki ne tarit pas d'éloges sur le football burkinabé dont il trouve le niveau acceptable. Pour lui, son équipe l'ASFB peut être sacrée championne du Burkina Faso cette saison « parce que toutes les conditions sont réunies pour cela ». En attendant, le petit Zaki a promis de toujours régaler le public sportif burkinabé à qui il demande soutien et bénédiction. « Mon objectif est de ne pas le décevoir et je travaillerai pour cela ». Promesse de Zakaria Sanogho.
Yves OUEDRAOGO