Emettant en test depuis février 2010, la télévision BF1 a officiellement démarré ses activités ce 18 août 2010. C’est le ministre de la culture, du tourisme et de la communication, qui a interrompu ses vacances pour celer le démarrage effectif des activités de la nouvelle venue sur le paysage médiatique burkinabè, « la télévision qui ose ».
Le paysage médiatique burkinabè s’élargit. BF1, « la télévision qui ose » a officiellement ouvert ses portes ce mercredi. La cérémonie d’ouverture a eu lieu au siège de l’organe en présence d’imminentes personnalités dont le ministre de la culture, du tourisme et de la communication ainsi que celui de la jeunesse et de l’emploi.
Une cérémonie marquée par une visite des locaux du nouveau joyau précédée de deux interventions dont le ministre de tutelle Filippe Savadogo et le président du conseil d’administration de Global Communication SA, la société promotrice de cette nouvelle chaine. Selon Lassiné Diawara, « le 18 août est un grand jour pour Global Communication et le bébé qui vient de naître ». C’est parce qu’on n’ose pas qu’on ne réussit pas, rappelle Filippe Sawadogo. La télévision qui ose tentera de se faire une place sous le soleil ouagalais, et burkinabè plus tard.
Pour l’instant, BF1 couvre un rayon de 43 kilomètres autour de Ouagadougou. Elle a commencé ses émissions test depuis six mois pour essayer et parfaire les équipements techniques. Aussi, cette période a-t-elle permis de mettre à niveau les techniciens et les journalistes dans l’utilisation de l’appareillage acquis.
Des essais qui se sont avérés concluants. Néanmoins en Juillet dernier, l’équipe dirigeante a prolongé son émetteur en vue d’améliorer la qualité du signal de réception. Le pylône est passé de 65m à 80m de hauteur. Au même moment le nombre des dipôles passaient de 8 à 12. C’est donc dire que BF1 ne démarre pas ses activités dans le tâtonnement. Techniquement, tout est fin prêt. Deux studios dont l’un pour le Journal Télé et l’autre pour la production d’émissions plateau, deux régies, une station de montage news, deux stations de montage habillage, une salle de diffusion, une salle émetteurs ; voilà la composition de l’arsenal technique dont dispose cette nouvelle télévision privée. Une vingtaine d’agents s’activent pour réussir le pari qu’a osé BF1.
Le programme qui promet d’être alléchant et attractif pour toutes les couches de la société subira permanemment des réajustements afin de répondre au mieux aux besoins de la société. Il mettra un accent particulier sur le divertissement et l’éducation à près de 78%. L’information prendra 19% et les 3% du temps seront consacrés au sport. A partir de ce 18 août, les rédacteurs prennent rendez-vous avec les téléspectateurs pour « le 19h30 », session principale d’information et « l’autre journal » à 13h et 17h. Compte rendu, reportage, commentaire, entretiens, tous les genres journalistiques seront mis à profit.
Le projet de création de BF1, en chantier depuis cinq ans, a subi des aménagements et des réaménagements afin de proposer de l’innovant et de l’attrayant en s’appuyant sur les devanciers. Objectif : servir de miroir de la société. 600 millions de francs hors mis le bâtiment ont permis de mettre en marche ce vaste chantier.
Très rapidement, BF1 entend élargir sa portée et chercher à être la première TNT du Burkina à long terme. « BF1 offrira le mieux qu’elle pourra », précise son directeur général Léopold Kohoun.
Le paysage médiatique burkinabè s’élargit. BF1, « la télévision qui ose » a officiellement ouvert ses portes ce mercredi. La cérémonie d’ouverture a eu lieu au siège de l’organe en présence d’imminentes personnalités dont le ministre de la culture, du tourisme et de la communication ainsi que celui de la jeunesse et de l’emploi.
Une cérémonie marquée par une visite des locaux du nouveau joyau précédée de deux interventions dont le ministre de tutelle Filippe Savadogo et le président du conseil d’administration de Global Communication SA, la société promotrice de cette nouvelle chaine. Selon Lassiné Diawara, « le 18 août est un grand jour pour Global Communication et le bébé qui vient de naître ». C’est parce qu’on n’ose pas qu’on ne réussit pas, rappelle Filippe Sawadogo. La télévision qui ose tentera de se faire une place sous le soleil ouagalais, et burkinabè plus tard.
Pour l’instant, BF1 couvre un rayon de 43 kilomètres autour de Ouagadougou. Elle a commencé ses émissions test depuis six mois pour essayer et parfaire les équipements techniques. Aussi, cette période a-t-elle permis de mettre à niveau les techniciens et les journalistes dans l’utilisation de l’appareillage acquis.
Des essais qui se sont avérés concluants. Néanmoins en Juillet dernier, l’équipe dirigeante a prolongé son émetteur en vue d’améliorer la qualité du signal de réception. Le pylône est passé de 65m à 80m de hauteur. Au même moment le nombre des dipôles passaient de 8 à 12. C’est donc dire que BF1 ne démarre pas ses activités dans le tâtonnement. Techniquement, tout est fin prêt. Deux studios dont l’un pour le Journal Télé et l’autre pour la production d’émissions plateau, deux régies, une station de montage news, deux stations de montage habillage, une salle de diffusion, une salle émetteurs ; voilà la composition de l’arsenal technique dont dispose cette nouvelle télévision privée. Une vingtaine d’agents s’activent pour réussir le pari qu’a osé BF1.
Le programme qui promet d’être alléchant et attractif pour toutes les couches de la société subira permanemment des réajustements afin de répondre au mieux aux besoins de la société. Il mettra un accent particulier sur le divertissement et l’éducation à près de 78%. L’information prendra 19% et les 3% du temps seront consacrés au sport. A partir de ce 18 août, les rédacteurs prennent rendez-vous avec les téléspectateurs pour « le 19h30 », session principale d’information et « l’autre journal » à 13h et 17h. Compte rendu, reportage, commentaire, entretiens, tous les genres journalistiques seront mis à profit.
Le projet de création de BF1, en chantier depuis cinq ans, a subi des aménagements et des réaménagements afin de proposer de l’innovant et de l’attrayant en s’appuyant sur les devanciers. Objectif : servir de miroir de la société. 600 millions de francs hors mis le bâtiment ont permis de mettre en marche ce vaste chantier.
Très rapidement, BF1 entend élargir sa portée et chercher à être la première TNT du Burkina à long terme. « BF1 offrira le mieux qu’elle pourra », précise son directeur général Léopold Kohoun.