Après sa chute d’entrée contre l’Angola (2-1), le Burkina prépare activement son second match du tournoi qui l’opposera à la Côte d’Ivoire, ce jeudi 26 janvier à Malabo. Une rencontre capitale pour le sélectionneur des Etalons, Paulo Duarte rencontré au sortir de la séance d’entraînement du lundi dernier. Contre les Eléphants, le Portugais proscrit toute défaite.
Le Patriote : Après un match parfaitement maîtrisé contre l’Angola, vous perdez (2-1). Des regrets ?
Paulo Duarte: On était bien dans le jeu. On a dominé pratiquement toute la partie avec un large avantage au niveau de la possession. Malheureusement, ce n’est pas la meilleure équipe qui gagne le match. On a contrôlé tout le match, mais le résultat n’a pas suivi. Nous avons joué contre une équipe qui a passé toute la seconde mi-temps à commettre des actes d’anti-jeu. Je crois que le Burkina a tout de même manqué de chance. On a raté cinq ou six occasions nettes de buts. On joue bien et on ne marque pas. Et ce qui est mauvais, on perd des ballons dans la surface dont profite l’adversaire. Quand on joue au haut niveau, au niveau international, ce sont des erreurs à ne pas commettre. C’est impardonnable. Ce sont les défenseurs qui offrent ces occasions de buts à l’Angola. Je dis que ce n’est pas du tout bien. L’Angola n’a pas fait un bon match, mais ils ont gagné. C’est ça aussi le football. Il faut se concentrer pour le prochain match.
LP : Parlant du prochain match, vous aurez la Côte d’Ivoire ?
PD : Oui ! Une force africaine, une force qui peut gagner la Coupe. Pour nous aussi, c’est un autre challenge. Ce n’est pas parce qu’on est rentré mal dans la compétition que tout est perdu. On a une équipe qu’il faut aller chercher. On a la force pour le faire, on a les armes. Parce qu’il est important pour nous de sortir le grand match contre la Côte d’Ivoire. Si on veut continuer dans la compétition, on doit frapper la Côte d’Ivoire. Ou bien on est battu et c’est le retour à la maison. Et ce n’est pas ça notre ambition. Contre la Côte d’Ivoire, on doit prendre des points. On n’a pas d’autre choix. Ce match contre la Côte d’Ivoire est décisif pour nous.
LP : Croyez-vous sincèrement à une qualification pour les quarts ?
PD : L’équipe qui a beaucoup de chance et qui est sûre d’aller en quarts de finale, c’est la Côte d’Ivoire. L’Angola nous a battus, mais elle peut terminer la phase de poule avec les trois points de son premier match. Rien n’est perdu pour nous. C’est pourquoi je dis qu’un résultat contre la Côte d’Ivoire est impératif. On doit aller chercher des points. On a encore six points en jeu, il faut aller les chercher. Nous pouvons le réussir.
LP : C’est quoi un résultat impératif pour vous ?
PD : Quand on perd un premier match sur trois possibles, on n’a plus droit à l’erreur. Contre la Côte d’Ivoire, il nous faut tout sauf une défaite. Le Burkina est venu avec de grandes ambitions et rester au premier tour sera un grand échec.
LP : De quelles armes disposez-vous pour espérer un résultat contre les Eléphants ?
PD : On a vu la Côte d’Ivoire jouer contre le Soudan. Et on n’est pas du tout inquiet. On sait qu’en jouant notre jeu, on arrivera à réaliser de belles choses.
LP : Jonathan Pitroïpa n’était pas à cette séance d’entraînement ?
PD : Il est resté à l’hôtel. Contre l’Angola, il a pris un coup et j’ai préféré le reposer. Je pense qu’il sera prêt contre la Côte d’Ivoire.
LP : Vous récupérez également votre capitaine Kéré Mamadou qui revient de suspension. C’est un atout de plus pour vous ?
PD : Kéré est le capitaine de l’équipe. Sa présence est une motivation supplémentaire pour l’équipe. Avec Kéré, Charles Kaboré et Florent Rouamba dans le milieu, on arrivera à un résultat.
Recueillis par OG à Malabo
Le Patriote : Après un match parfaitement maîtrisé contre l’Angola, vous perdez (2-1). Des regrets ?
Paulo Duarte: On était bien dans le jeu. On a dominé pratiquement toute la partie avec un large avantage au niveau de la possession. Malheureusement, ce n’est pas la meilleure équipe qui gagne le match. On a contrôlé tout le match, mais le résultat n’a pas suivi. Nous avons joué contre une équipe qui a passé toute la seconde mi-temps à commettre des actes d’anti-jeu. Je crois que le Burkina a tout de même manqué de chance. On a raté cinq ou six occasions nettes de buts. On joue bien et on ne marque pas. Et ce qui est mauvais, on perd des ballons dans la surface dont profite l’adversaire. Quand on joue au haut niveau, au niveau international, ce sont des erreurs à ne pas commettre. C’est impardonnable. Ce sont les défenseurs qui offrent ces occasions de buts à l’Angola. Je dis que ce n’est pas du tout bien. L’Angola n’a pas fait un bon match, mais ils ont gagné. C’est ça aussi le football. Il faut se concentrer pour le prochain match.
LP : Parlant du prochain match, vous aurez la Côte d’Ivoire ?
PD : Oui ! Une force africaine, une force qui peut gagner la Coupe. Pour nous aussi, c’est un autre challenge. Ce n’est pas parce qu’on est rentré mal dans la compétition que tout est perdu. On a une équipe qu’il faut aller chercher. On a la force pour le faire, on a les armes. Parce qu’il est important pour nous de sortir le grand match contre la Côte d’Ivoire. Si on veut continuer dans la compétition, on doit frapper la Côte d’Ivoire. Ou bien on est battu et c’est le retour à la maison. Et ce n’est pas ça notre ambition. Contre la Côte d’Ivoire, on doit prendre des points. On n’a pas d’autre choix. Ce match contre la Côte d’Ivoire est décisif pour nous.
LP : Croyez-vous sincèrement à une qualification pour les quarts ?
PD : L’équipe qui a beaucoup de chance et qui est sûre d’aller en quarts de finale, c’est la Côte d’Ivoire. L’Angola nous a battus, mais elle peut terminer la phase de poule avec les trois points de son premier match. Rien n’est perdu pour nous. C’est pourquoi je dis qu’un résultat contre la Côte d’Ivoire est impératif. On doit aller chercher des points. On a encore six points en jeu, il faut aller les chercher. Nous pouvons le réussir.
LP : C’est quoi un résultat impératif pour vous ?
PD : Quand on perd un premier match sur trois possibles, on n’a plus droit à l’erreur. Contre la Côte d’Ivoire, il nous faut tout sauf une défaite. Le Burkina est venu avec de grandes ambitions et rester au premier tour sera un grand échec.
LP : De quelles armes disposez-vous pour espérer un résultat contre les Eléphants ?
PD : On a vu la Côte d’Ivoire jouer contre le Soudan. Et on n’est pas du tout inquiet. On sait qu’en jouant notre jeu, on arrivera à réaliser de belles choses.
LP : Jonathan Pitroïpa n’était pas à cette séance d’entraînement ?
PD : Il est resté à l’hôtel. Contre l’Angola, il a pris un coup et j’ai préféré le reposer. Je pense qu’il sera prêt contre la Côte d’Ivoire.
LP : Vous récupérez également votre capitaine Kéré Mamadou qui revient de suspension. C’est un atout de plus pour vous ?
PD : Kéré est le capitaine de l’équipe. Sa présence est une motivation supplémentaire pour l’équipe. Avec Kéré, Charles Kaboré et Florent Rouamba dans le milieu, on arrivera à un résultat.
Recueillis par OG à Malabo