6 février 2012, par Webmaster
Objet de convoitises chaque saison, Wilfried Benjamin Balima verra toujours son vœu d’aller voir ailleurs souffrir du refus de son président du Sheriff Tiraspol de Moldavie de se séparer de lui. Mais cette fois-ci semble la bonne puisque l’international burkinabè se voit déjà en Ukraine dans la formation de l’élite de ce pays, Arsenal de Kiev.
Comment s’est passée la saison de Benjamin Wilfried Balima ?
Bonne. Déjà avant le mercato, j’avais 14 buts à mon actif, donc meilleur buteur du championnat moldave. J’ai toujours marqué à chaque journée de championnat jusqu’à ma blessure, une fracture à l’avant-bras. C’est la trêve présentement en Moldavie. Nous reprenons en principe au mois de mars. Mais si je dois rester dans ce club, je compte continuer sur ma lancée et de toujours être le meilleur buteur de ce championnat.
Outre votre blessure, vous aviez aussi séjourné pendant un bon moment en Ukraine. Pour quelle raison ?
Je suis parti pour une prise de contact avec l’équipe d’Arsenal de Kiev qui veut m’engager. Tout est clair et j’attends le feu vert du président de Sheriff Tiraspol de Moldavie pour la signature de mon contrat avec ce club. Il est toujours hésitant mais je pense qu’il va me laisser partir. En tous les cas, je me dis que je serai sociétaire d’Arsenal de Kiev cette saison.
Parlant de la Moldavie, pensez-vous que son championnat soit un bon tremplin pour un jeune joueur comme vous ?
Si ! C’est vrai que quand j’y partais en 2005, ce n’était pas évident mais depuis 2 à 3 saisons, le niveau du championnat est bon à cause de la forte présence de footballeurs étrangers.
On vous a vu après votre premier match de la CAN en pleine discussion avec un agent de joueur dans votre hôtel. Qu’est-ce qui se trame ?
C’est un agent de joueur allemand qui répond au nom de Link. C’est depuis la CAN 2010 en Angola qu’il m’avait vu. Il avait trouvé que j’ai fait une bonne entrée contre le Ghana. Depuis, nous avions gardé le contact. Il m’avait même trouvé un club en Allemagne, Kaiserlautern. Mais mon président n’a pas voulu que j’aille. Il est revenu à cette CAN pour relancer cette piste parce qu’il m’a confirmé que le club allemand est toujours intéressé. J’attends de voir.
Entretien réalisé par Yves OUEDRAOGO
Objet de convoitises chaque saison, Wilfried Benjamin Balima verra toujours son vœu d’aller voir ailleurs souffrir du refus de son président du Sheriff Tiraspol de Moldavie de se séparer de lui. Mais cette fois-ci semble la bonne puisque l’international burkinabè se voit déjà en Ukraine dans la formation de l’élite de ce pays, Arsenal de Kiev.
Comment s’est passée la saison de Benjamin Wilfried Balima ?
Bonne. Déjà avant le mercato, j’avais 14 buts à mon actif, donc meilleur buteur du championnat moldave. J’ai toujours marqué à chaque journée de championnat jusqu’à ma blessure, une fracture à l’avant-bras. C’est la trêve présentement en Moldavie. Nous reprenons en principe au mois de mars. Mais si je dois rester dans ce club, je compte continuer sur ma lancée et de toujours être le meilleur buteur de ce championnat.
Outre votre blessure, vous aviez aussi séjourné pendant un bon moment en Ukraine. Pour quelle raison ?
Je suis parti pour une prise de contact avec l’équipe d’Arsenal de Kiev qui veut m’engager. Tout est clair et j’attends le feu vert du président de Sheriff Tiraspol de Moldavie pour la signature de mon contrat avec ce club. Il est toujours hésitant mais je pense qu’il va me laisser partir. En tous les cas, je me dis que je serai sociétaire d’Arsenal de Kiev cette saison.
Parlant de la Moldavie, pensez-vous que son championnat soit un bon tremplin pour un jeune joueur comme vous ?
Si ! C’est vrai que quand j’y partais en 2005, ce n’était pas évident mais depuis 2 à 3 saisons, le niveau du championnat est bon à cause de la forte présence de footballeurs étrangers.
On vous a vu après votre premier match de la CAN en pleine discussion avec un agent de joueur dans votre hôtel. Qu’est-ce qui se trame ?
C’est un agent de joueur allemand qui répond au nom de Link. C’est depuis la CAN 2010 en Angola qu’il m’avait vu. Il avait trouvé que j’ai fait une bonne entrée contre le Ghana. Depuis, nous avions gardé le contact. Il m’avait même trouvé un club en Allemagne, Kaiserlautern. Mais mon président n’a pas voulu que j’aille. Il est revenu à cette CAN pour relancer cette piste parce qu’il m’a confirmé que le club allemand est toujours intéressé. J’attends de voir.
Entretien réalisé par Yves OUEDRAOGO