Les Étalons du Burkina se sont qualifiés sur le fil pour le dernier tour des éliminatoires de la Coupe d’Afrique des Nations (CAN) 2013 prévue en Algérie. Ils ont battu le Sily junior de la Guinée (1#0) lors du match retour à Ouagadougou. Les joueurs Guinéens se sont illustrés négativement à la fin de la rencontre en agressant leurs adversaires.
Alors que le fair-play est prôné dans tous les stades, certains ne semblent pas avoir compris le message lancé par la Fifa. Le samedi 11 août 2012 au Stade du 4 août de Ouagadougou, alors que le match qui opposait les Étalons juniors du Burkina Faso au Sily national de la Guinée Conakry a pris fin, le gardien remplaçant de cette équipe est monté sur le terrain pour frapper Armand Bambara avec ses crampons. Le milieu de terrain des Étalons junior surpris par ce coup est tombé KO. Une situation qui a provoqué la colère de ses coéquipiers qui ont également voulu s’en prendre aux Guinéens. Les supporters ont voulu entrer dans la danse. Il a fallu l’expérience des forces de sécurité burkinabè qui ont réussi à protéger la délégation guinéenne.
Un manque de fair-play de la part des Guinéens que devrait sanctionner par la Confédération africaine de Football pour donner le bon exemple. Sinon, ces scènes risquent de se répéter sur d’autres stades. Les Guinéens ont passé le temps a protesté contre les décisions de l’arbitral. Des protestations qui n’avaient pas lieu d’être. Pourtant, l’arbitrage a été parfait et même trop clémente envers l’équipe guinéenne. Ceux qui veulent être les futurs héritiés de Titi Camara et Pascal Feindouno se sont peut-être révoltés par un sentiment d’injustice. Les Étalons juniors auraient pu en faire de même, eux qui auraient pu bénéficier de deux penalty au match aller, si l’arbitre avait été vigilant. Mais par discipline et par respect de l’éthique du sport, il n’y a pas eu de scandale.
Cet écart de comportement des Guinéens vient rappeler les mauvais souvenirs de la CAN 1998. Éliminés dans les dernières minutes par le Burkina Faso dans les dernières minutes grâce à un but de Roméo Kambou, les joueurs du Sily avaient déféqué dans les draps de l’hôtel dans lequel ils étaient logés. Des comportements à bannir car le football est avant tout un jeu.
Alors que le fair-play est prôné dans tous les stades, certains ne semblent pas avoir compris le message lancé par la Fifa. Le samedi 11 août 2012 au Stade du 4 août de Ouagadougou, alors que le match qui opposait les Étalons juniors du Burkina Faso au Sily national de la Guinée Conakry a pris fin, le gardien remplaçant de cette équipe est monté sur le terrain pour frapper Armand Bambara avec ses crampons. Le milieu de terrain des Étalons junior surpris par ce coup est tombé KO. Une situation qui a provoqué la colère de ses coéquipiers qui ont également voulu s’en prendre aux Guinéens. Les supporters ont voulu entrer dans la danse. Il a fallu l’expérience des forces de sécurité burkinabè qui ont réussi à protéger la délégation guinéenne.
Un manque de fair-play de la part des Guinéens que devrait sanctionner par la Confédération africaine de Football pour donner le bon exemple. Sinon, ces scènes risquent de se répéter sur d’autres stades. Les Guinéens ont passé le temps a protesté contre les décisions de l’arbitral. Des protestations qui n’avaient pas lieu d’être. Pourtant, l’arbitrage a été parfait et même trop clémente envers l’équipe guinéenne. Ceux qui veulent être les futurs héritiés de Titi Camara et Pascal Feindouno se sont peut-être révoltés par un sentiment d’injustice. Les Étalons juniors auraient pu en faire de même, eux qui auraient pu bénéficier de deux penalty au match aller, si l’arbitre avait été vigilant. Mais par discipline et par respect de l’éthique du sport, il n’y a pas eu de scandale.
Cet écart de comportement des Guinéens vient rappeler les mauvais souvenirs de la CAN 1998. Éliminés dans les dernières minutes par le Burkina Faso dans les dernières minutes grâce à un but de Roméo Kambou, les joueurs du Sily avaient déféqué dans les draps de l’hôtel dans lequel ils étaient logés. Des comportements à bannir car le football est avant tout un jeu.