La Fédération centrafricaine de football a saisi la CAF à propos de l’arbitrage de la rencontre entre le Burkina Faso et la Centrafrique, le dimanche 14 octobre dernier à Ouagadougou, conclue par la défaite (3-1) et l’élimination des Fauves. Explications.
Comme nous vous l’annoncions la semaine passée, la Fédération centrafricaine de football a saisi la CAF à propos de l’arbitrage de la rencontre entre le Burkina Faso et la Centrafrique, le dimanche 14 octobre dernier à Ouagadougou, conclue par la défaite (3-1) et l’élimination des Fauves. Outre le penalty sifflé en première période, la FCF conteste la gestion des temps additionnels par l’arbitre marocain du match, Bouchaib Al Ahrach.
« Le plus grotesque jugement consiste en la prolongation du temps réglementaire sous prétexte de récupération du temps perdu. Nous avons totalisé 112 minutes 27 secondes en considérant déjà une première prolongation de 5 minutes en première mi-temps sans aucun motif valable, étant donné que le match n’a connu aucune interruption importante », écrit la Fédération centrafricaine dans ce courrier adressé à la CAF et dont Footafrica365.fr s’est procuré une copie.
Autre argument de l’instance dirigeante, l’arrêt du chronomètre du stade, sept minutes durant alors qu’on disputait la 40eme minute de la seconde période. Et ce n’est pas tout. « Deux minutes après la reprise du chronomètre du stade, l’officiel a indiqué un temps additionnel de quatre minutes qui sera joué au-delà de toute attente plus de cinq minutes avant que l’adversaire puisse inscrire son troisième but. Cette manœuvre astucieuse, selon nous illégale, n’a eu pour but que de disqualifier notre pays. »
Et la Fédération centrafricaine, sous la signature de son président Patrice-Edouard Ngaissona (photo), de demander l’invalidation du troisième but marqué selon elle hors-délais. Le tirage au sort de la phase finale étant programmé mercredi, une réponse de la CAF est à souhaiter sous peu.
FOOT AFRICA
Comme nous vous l’annoncions la semaine passée, la Fédération centrafricaine de football a saisi la CAF à propos de l’arbitrage de la rencontre entre le Burkina Faso et la Centrafrique, le dimanche 14 octobre dernier à Ouagadougou, conclue par la défaite (3-1) et l’élimination des Fauves. Outre le penalty sifflé en première période, la FCF conteste la gestion des temps additionnels par l’arbitre marocain du match, Bouchaib Al Ahrach.
« Le plus grotesque jugement consiste en la prolongation du temps réglementaire sous prétexte de récupération du temps perdu. Nous avons totalisé 112 minutes 27 secondes en considérant déjà une première prolongation de 5 minutes en première mi-temps sans aucun motif valable, étant donné que le match n’a connu aucune interruption importante », écrit la Fédération centrafricaine dans ce courrier adressé à la CAF et dont Footafrica365.fr s’est procuré une copie.
Autre argument de l’instance dirigeante, l’arrêt du chronomètre du stade, sept minutes durant alors qu’on disputait la 40eme minute de la seconde période. Et ce n’est pas tout. « Deux minutes après la reprise du chronomètre du stade, l’officiel a indiqué un temps additionnel de quatre minutes qui sera joué au-delà de toute attente plus de cinq minutes avant que l’adversaire puisse inscrire son troisième but. Cette manœuvre astucieuse, selon nous illégale, n’a eu pour but que de disqualifier notre pays. »
Et la Fédération centrafricaine, sous la signature de son président Patrice-Edouard Ngaissona (photo), de demander l’invalidation du troisième but marqué selon elle hors-délais. Le tirage au sort de la phase finale étant programmé mercredi, une réponse de la CAF est à souhaiter sous peu.
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