Comment expliquez-vous l'ampleur de la défaite face à Lyon ?
C.K. : Il y a des soirées où rien ne réussit. On prend un penalty dès la 3e minute de jeu. On a essayé de revenir, mais les Lyonnais ont marqué un deuxième puis un troisième but... A 3-0, le match était plié. En fin de rencontre, on a même pris un carton rouge...
L'OM n'avait pas les moyens de réagir ?
C.K. : Comment voulez-vous que l'on réagisse ? Rien n'allait... Tout était contre nous. Il n'y a pas de mot pour justifier notre prestation.
Avec la même équipe, l'OM avait pourtant battu Lille dimanche. Comment expliquez-vous une telle différence entre ces deux rencontres ?
C.K. : Je ne sais pas... Il n'y a pas d'explication à donner. C'est vrai que c'était la même équipe il y a trois jours. On était alors très content...
C'est au milieu de terrain que le match s'est joué ?
C.K. : On a perdu la bataille du milieu. En première mi-temps, on n'a pas été bon. Même chose en seconde période. Les Lyonnais ont bien joué. Ils méritent la victoire. Il ne faut pas leur enlever ça.
Physiquement, l'OM a peiné face à Lyon. L'état du terrain vous a pénalisé ?
C.K. : La pelouse en mauvais état, c'était embêtant pour les deux équipes. Mais c'était encore plus dur pour nous de courir pour revenir défendre. Les passes n'étaient pas bien assurées. Il y a des soirs comme ça...
Cette défaite révèle-t-elle les limites de l'OM cette saison ?
C.K. : On n'a pas oublié d'où on vient. Et on n'est pas dernier non plus après cette défaite. Le championnat n'est pas encore terminé. On va encore gagner des matches.
Personnellement, comment avez-vous jugé votre prestation ?
C.K. : J'ai essayé de jouer le plus rapidement possible vers l'avant. Et de sortir le ballon proprement. Mais je n'ai pas réussi. J'espère que ce sera le cas au prochain match. Il faut maintenant se remobiliser. Ce n'est qu'un passage à vide. Dimanche, il faudra réagir à Brest.
Vous êtes sorti sous les sifflets du public. C'est une déception supplémentaire ?
C.K. : Quand on gagne, les supporters sont contents. Là, ils ont sifflé. C'est normal. Je n'ai pas été bon.
Vous auriez préféré être remplacé à la mi-temps pour ne pas subir ces sifflets ?
C.K. : Non, je suis sorti au bon moment. C'est le coach qui décide. Rafi (Abdullah) est entré. Il a apporté un peu de fraîcheur.
Etre pris à partie par le public, c'est dur à vivre ?
C.K. : Ça fait six saisons que je joue à l'OM. Si je me dis aujourd'hui que c'est difficile à vivre, il faut que j'arrête de jouer...
Eurosport - De notre correspondant à Marseille, Vincent BANTIT
C.K. : Il y a des soirées où rien ne réussit. On prend un penalty dès la 3e minute de jeu. On a essayé de revenir, mais les Lyonnais ont marqué un deuxième puis un troisième but... A 3-0, le match était plié. En fin de rencontre, on a même pris un carton rouge...
L'OM n'avait pas les moyens de réagir ?
C.K. : Comment voulez-vous que l'on réagisse ? Rien n'allait... Tout était contre nous. Il n'y a pas de mot pour justifier notre prestation.
Avec la même équipe, l'OM avait pourtant battu Lille dimanche. Comment expliquez-vous une telle différence entre ces deux rencontres ?
C.K. : Je ne sais pas... Il n'y a pas d'explication à donner. C'est vrai que c'était la même équipe il y a trois jours. On était alors très content...
C'est au milieu de terrain que le match s'est joué ?
C.K. : On a perdu la bataille du milieu. En première mi-temps, on n'a pas été bon. Même chose en seconde période. Les Lyonnais ont bien joué. Ils méritent la victoire. Il ne faut pas leur enlever ça.
Physiquement, l'OM a peiné face à Lyon. L'état du terrain vous a pénalisé ?
C.K. : La pelouse en mauvais état, c'était embêtant pour les deux équipes. Mais c'était encore plus dur pour nous de courir pour revenir défendre. Les passes n'étaient pas bien assurées. Il y a des soirs comme ça...
Cette défaite révèle-t-elle les limites de l'OM cette saison ?
C.K. : On n'a pas oublié d'où on vient. Et on n'est pas dernier non plus après cette défaite. Le championnat n'est pas encore terminé. On va encore gagner des matches.
Personnellement, comment avez-vous jugé votre prestation ?
C.K. : J'ai essayé de jouer le plus rapidement possible vers l'avant. Et de sortir le ballon proprement. Mais je n'ai pas réussi. J'espère que ce sera le cas au prochain match. Il faut maintenant se remobiliser. Ce n'est qu'un passage à vide. Dimanche, il faudra réagir à Brest.
Vous êtes sorti sous les sifflets du public. C'est une déception supplémentaire ?
C.K. : Quand on gagne, les supporters sont contents. Là, ils ont sifflé. C'est normal. Je n'ai pas été bon.
Vous auriez préféré être remplacé à la mi-temps pour ne pas subir ces sifflets ?
C.K. : Non, je suis sorti au bon moment. C'est le coach qui décide. Rafi (Abdullah) est entré. Il a apporté un peu de fraîcheur.
Etre pris à partie par le public, c'est dur à vivre ?
C.K. : Ça fait six saisons que je joue à l'OM. Si je me dis aujourd'hui que c'est difficile à vivre, il faut que j'arrête de jouer...
Eurosport - De notre correspondant à Marseille, Vincent BANTIT