La Défense, Socle Du Succès Des Etalons
La défense des Etalons a affiché beaucoup de sérénité depuis le début de la CAN 2013. Maillon faible jadis, elle est devenue aujourd’hui le maillon fort de l’escouade de Paul Put.
La défense des Etalons a toujours été son talon d’Achille. Avant la CAN 2013 et en huit participations, le Burkina Faso a encaissé la bagatelle de 52 buts. A chacune de ses trois premières participations en Coupe d’Afrique, le pays des Hommes intègres a conclu la compétition avec neuf buts dans la valise. En 1978 au Ghana, 1996 en Afrique du Sud et 1998 à domicile.
Lors de la CAN 2000 Nigeria-Ghana, les Etalons sont rentrés au bercail avec huit buts encaissés. En 2002 au Mali la défense en prend quatre puis six en 2004 en Tunisie. En Angola en 2010 le Burkina Faso n’encaissera qu’un but sans en inscrire un, mais suffisant pour se faire éliminer au premier tour. En 2012 en Guinée Equatoriale, c’est avec un total de six buts dans le sac que la sélection nationale regagne le pays.
En huit participations les Etalons ont disputé 26 rencontres. La moyenne de buts encaissés par rencontre s’élève donc à 2. Deux buts encaissés en moyenne par match, ce n’est point glorieux. Fallait donc y remédier et le peu que l’on puisse dire est que les Etalons sont sur la bonne voie. Avec seulement un but en quatre rencontres on peut dire que le secteur défensif des Etalons est en train de passer de maillon faible à maillon fort. Le secret du succès actuel des Etalons réside dans la solidité de sa défense.
Avec deux gardiens de buts, Soulama et Diakité qui se sont relayés et affichés beaucoup d’assurance, on peut dire que la maison est bien gardée. La ligne arrière composée de Koffi, Koné, Koulibaly, Panandetiguiri est une palissade quasi infranchissable pour les attaques adverses même si le dernier cité à paru par moment fébrile. L’apport du premier rideau défensif formé par la paire Kaboré-Koné est une digue qui arrive à annihiler les assauts adverses avec le soutien d’un Rouamba toujours en mission. Il faut dire en somme que c’est tout le bloc équipe qui consent des efforts dans les tâches défensives. Comme pour faire le rapprochement avec un paradigme cher aux basketteurs, « Si l’attaque assure le spectacle, c’est la défense qui remporte les titres ». Et cela, nous pensons que les poulains de Paul Put l’ont bien compris.
La défense des Etalons a affiché beaucoup de sérénité depuis le début de la CAN 2013. Maillon faible jadis, elle est devenue aujourd’hui le maillon fort de l’escouade de Paul Put.
La défense des Etalons a toujours été son talon d’Achille. Avant la CAN 2013 et en huit participations, le Burkina Faso a encaissé la bagatelle de 52 buts. A chacune de ses trois premières participations en Coupe d’Afrique, le pays des Hommes intègres a conclu la compétition avec neuf buts dans la valise. En 1978 au Ghana, 1996 en Afrique du Sud et 1998 à domicile.
Lors de la CAN 2000 Nigeria-Ghana, les Etalons sont rentrés au bercail avec huit buts encaissés. En 2002 au Mali la défense en prend quatre puis six en 2004 en Tunisie. En Angola en 2010 le Burkina Faso n’encaissera qu’un but sans en inscrire un, mais suffisant pour se faire éliminer au premier tour. En 2012 en Guinée Equatoriale, c’est avec un total de six buts dans le sac que la sélection nationale regagne le pays.
En huit participations les Etalons ont disputé 26 rencontres. La moyenne de buts encaissés par rencontre s’élève donc à 2. Deux buts encaissés en moyenne par match, ce n’est point glorieux. Fallait donc y remédier et le peu que l’on puisse dire est que les Etalons sont sur la bonne voie. Avec seulement un but en quatre rencontres on peut dire que le secteur défensif des Etalons est en train de passer de maillon faible à maillon fort. Le secret du succès actuel des Etalons réside dans la solidité de sa défense.
Avec deux gardiens de buts, Soulama et Diakité qui se sont relayés et affichés beaucoup d’assurance, on peut dire que la maison est bien gardée. La ligne arrière composée de Koffi, Koné, Koulibaly, Panandetiguiri est une palissade quasi infranchissable pour les attaques adverses même si le dernier cité à paru par moment fébrile. L’apport du premier rideau défensif formé par la paire Kaboré-Koné est une digue qui arrive à annihiler les assauts adverses avec le soutien d’un Rouamba toujours en mission. Il faut dire en somme que c’est tout le bloc équipe qui consent des efforts dans les tâches défensives. Comme pour faire le rapprochement avec un paradigme cher aux basketteurs, « Si l’attaque assure le spectacle, c’est la défense qui remporte les titres ». Et cela, nous pensons que les poulains de Paul Put l’ont bien compris.