Bakary Koné: «Je n’étais pas aussi mauvais qu’on pouvait le dire»
Après une longue éclipse, Bakary Koné (24 ans) s’apprête à disputer son huitième match de L1, le troisième de rang, ce dimanche (17 h), face à Toulouse. Milan Bisevac suspendu, Dejan Lovren mis au repos, l’international burkinabé devrait composer avec Samuel Umtiti une charnière centrale inédite.
( ph.fifa.com
FOOTBALL – Le défenseur de Lyon trouve qu’il a été injustement critiqué…
Comment avez-vous vécu les trois mois durant lesquels vous n’avez pas joué?
J’ai fait ma propre autocritique. Je me suis dit qu’il y avait des choses que je n’avais pas bien faites et j’ai continué à travailler pour revenir à mon meilleur niveau. Je savais que tôt ou tard j’aurais à nouveau la chance de m’exprimer.
Les critiques ne vous ont pas épargné cette saison…
Je n’ai pas besoin de lire la presse pour savoir quand je suis bon ou quand je ne le suis pas. Je sais ce dont je suis capable. Tout ce que j’ai fait jusqu’à présent n’est pas dû au hasard. Après, chacun à ses qualités, ses lacunes et ses moments de faiblesse. Même Messi n’est pas toujours à 100 % avec le Barça. Je n’étais pas à 100 %, mais je n’étais pas aussi mauvais qu’on pouvait le dire. J’ai traversé un moment difficile, mais c’était peut-être aussi lié à la concurrence. Ce n’est pas que j’étais mauvais, mais mes concurrents ont été bons durant cette période.
La CAN a-t-elle été une bouffée d’oxygène?
Ca m’a fait du bien de retrouver l’équipe nationale, de jouer des matchs et surtout d’atteindre la finale. C’est quelque chose d’inoubliable parce que je ne l’espérais même pas.
Comment voyez-vous votre avenir à l’OL?
Pour le moment, ma tête est à Lyon où je suis sous contrat jusqu’en 2016. Même si j’ai moins joué cette saison, je pense avoir appris des choses et j’ai toujours la volonté de progresser. Il ne faut pas oublier que c’est seulement ma deuxième saison en L1.
Après une longue éclipse, Bakary Koné (24 ans) s’apprête à disputer son huitième match de L1, le troisième de rang, ce dimanche (17 h), face à Toulouse. Milan Bisevac suspendu, Dejan Lovren mis au repos, l’international burkinabé devrait composer avec Samuel Umtiti une charnière centrale inédite.
( ph.fifa.com
FOOTBALL – Le défenseur de Lyon trouve qu’il a été injustement critiqué…
Comment avez-vous vécu les trois mois durant lesquels vous n’avez pas joué?
J’ai fait ma propre autocritique. Je me suis dit qu’il y avait des choses que je n’avais pas bien faites et j’ai continué à travailler pour revenir à mon meilleur niveau. Je savais que tôt ou tard j’aurais à nouveau la chance de m’exprimer.
Les critiques ne vous ont pas épargné cette saison…
Je n’ai pas besoin de lire la presse pour savoir quand je suis bon ou quand je ne le suis pas. Je sais ce dont je suis capable. Tout ce que j’ai fait jusqu’à présent n’est pas dû au hasard. Après, chacun à ses qualités, ses lacunes et ses moments de faiblesse. Même Messi n’est pas toujours à 100 % avec le Barça. Je n’étais pas à 100 %, mais je n’étais pas aussi mauvais qu’on pouvait le dire. J’ai traversé un moment difficile, mais c’était peut-être aussi lié à la concurrence. Ce n’est pas que j’étais mauvais, mais mes concurrents ont été bons durant cette période.
La CAN a-t-elle été une bouffée d’oxygène?
Ca m’a fait du bien de retrouver l’équipe nationale, de jouer des matchs et surtout d’atteindre la finale. C’est quelque chose d’inoubliable parce que je ne l’espérais même pas.
Comment voyez-vous votre avenir à l’OL?
Pour le moment, ma tête est à Lyon où je suis sous contrat jusqu’en 2016. Même si j’ai moins joué cette saison, je pense avoir appris des choses et j’ai toujours la volonté de progresser. Il ne faut pas oublier que c’est seulement ma deuxième saison en L1.