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Les anciens internationaux Burkinabè, Brahima Traoré (extrême droite sur la photo) et Madou Dossama, se sont prononcés sur les chances de qualification de la sélection nationale. A quelques jours de la rencontre décisive contre l’Algérie, ils se sont dits confiants quant à la qualification des Etalons.
Brahima Traoré et Madou Dossama, aujourd’hui retraités, n’ont pas pou autant décrochés avec le football. Surtout quand il s’agit de parler des sujets en relation avec la sélection nationale. A quelques jours de l’ultime rencontre des barrages de la coupe du monde qui va se jouer contre l’Algérie, les deux internationaux, joints par nos soins, nous ont livré leurs avis sur le match du 19 novembre qui attend les Etalons. Pour l’ancien sociétaire de l’EFO, Madou Dossama, il va falloir être prudent à l’entame du match. "Les Etalons doivent savoir faire le dos rond. Laisser passer l’orage des 15 premières minutes du match et jouer le contre, car on a les hommes pour surprendre les Algériens. Notre attaque va se créer à coup sûr des occasions ; il faudra juste se concentrer et les mettre au fond", estime-t-il, avant d’ajouter que "Le public algérien est très versatile. Il n’est pas exclu qu’il prenne son équipe à partie en cas d’une entame difficile". Pour Brahima Traoré, aujourd’hui formateur de jeunes footballeurs du côté des Emirats Arabes Unis, il faut faire confiance au groupe de Paul Put et ne surtout pas se mettre une pression inutile. "j’ai toujours fait confiance à ce groupe. J’ai une fois dit lors de mon passage a la RTB [magazine des sports]de donner le temps à Paul Put pour travailler avec se groupe. Je pense que je n’ai pas eu tort. Avec ce groupe-là tout est possible. Il ne faut surtout pas se mettre la pression avant et pendant le match", a confié pour sa part l’ancien international.
Nos ex-internationaux ont également réagi aux propos de l’ancienne gloire algérienne Rabah Madjer qui a confié au site web de la CAF que l’Algérie " a les moyens de marquer des buts, pas un seul mais plusieurs buts. La ligne d’attaque de l’équipe d’Algérie fonctionne bien ces derniers temps, la preuve, c’est qu’elle marque toujours des buts. C’est le point le plus important à mon avis... Je crois comme j’espère que l’Algérie en sera (au mondial : NDLR), elle a le potentiel pour le faire". Madou Dossama n’entend cependant pas la chose de la même oreille. "C’est du bluff ! Je crois que c’est un peu une manière de fuir la pression trop forte, actuellement sur les épaules des Fennecs !" a-t-il indiqué. Même son de cloche pour Brahima Traoré. "Sachez qu’on a toujours eu de bons résultats quand on a joué a l’extérieur. Mieux qu’à domicile. Donc laissez les gens dire ce qu’ils pensent. Marcel Dessally a dit la même chose avant la CAN 2013, mais cela ne nous a pas empêché d’être vice-champions. Pourquoi la presse algérienne s’enflamme-t-elle ? C’est parce que les Algériens ont peur de perdre devant les Etalons", a-t-il déclaré.
La guerre psychologique est bien présente avant le rendez-vous du 19 novembre. La sélection de Paul Put prépare pour sa part, le tournant décisif des éliminatoires dans la quiétude du côté du Maroc. Les Etalons vont rallier l’Algérie le 17 novembre prochain.
Nos ex-internationaux ont également réagi aux propos de l’ancienne gloire algérienne Rabah Madjer qui a confié au site web de la CAF que l’Algérie " a les moyens de marquer des buts, pas un seul mais plusieurs buts. La ligne d’attaque de l’équipe d’Algérie fonctionne bien ces derniers temps, la preuve, c’est qu’elle marque toujours des buts. C’est le point le plus important à mon avis... Je crois comme j’espère que l’Algérie en sera (au mondial : NDLR), elle a le potentiel pour le faire". Madou Dossama n’entend cependant pas la chose de la même oreille. "C’est du bluff ! Je crois que c’est un peu une manière de fuir la pression trop forte, actuellement sur les épaules des Fennecs !" a-t-il indiqué. Même son de cloche pour Brahima Traoré. "Sachez qu’on a toujours eu de bons résultats quand on a joué a l’extérieur. Mieux qu’à domicile. Donc laissez les gens dire ce qu’ils pensent. Marcel Dessally a dit la même chose avant la CAN 2013, mais cela ne nous a pas empêché d’être vice-champions. Pourquoi la presse algérienne s’enflamme-t-elle ? C’est parce que les Algériens ont peur de perdre devant les Etalons", a-t-il déclaré.
La guerre psychologique est bien présente avant le rendez-vous du 19 novembre. La sélection de Paul Put prépare pour sa part, le tournant décisif des éliminatoires dans la quiétude du côté du Maroc. Les Etalons vont rallier l’Algérie le 17 novembre prochain.