Coach, peut-on savoir ce que vous devenez depuis votre départ du Burkina en 2012?
Après mon départ du Burkina, j’ai toujours eu l’idée qu’il serait préférable de continuer ma carrière dans le développement du football africain et faire de mon mieux pour être utile au continent. J’ai eu quelques invitations à travailler dans mon pays au Portugal, mais je n’ai pas trouvé de challenge intéressant. J’ai donc accepté un projet au Luxembourg qui m’a amené à travailler avec beaucoup de joueurs burkinabè. Mais le projet a échoué par manque de moyen pour réaliser le rêve que j’ambitionnais. J’étais obligé d’abandonner.
Avez-vous toujours des contacts avec le football burkinabè ?
Depuis que j’ai quitté le Burkina, je suis resté toujours en contact avec de nombreux amis que j’ai laissés là-bas. Je parle à presque tous mes anciens joueurs qui ont été champions d’Afrique. Malheureusement, le mois dernier j’ai perdu un ami proche, des suites du crash d’un avion de la compagnie air Algérie. Il s’appelle Omar Ballan et était propriétaire d’un café.
Connaissez-vous les dirigeants actuels du football burkinabé?
Je ne connais très bien la nouvelle direction de la FBF. Je sais très bien que le DTN Ousmane Savadogo a suivi de près notre travail lors des 2 ans où j’ai travaillé là-bas.
Une rumeur annonce votre retour au Burkina, avez-vous vraiment postulé pour y revenir?
J’ai appris qu’il y a eu offre pour le recrutement d’un entraîneur et ses assistants pour le compte des Etalons espoirs en vue de la qualification pour les Jeux Olympiques au Brésil. J’ai donc envoyé ma demande à la FBF. J’espère que ma candidature aboutira.
Pensez-vous apportez quelque chose de nouveau au football burkinabé?
Pour conduire les Etalons cadets à la CAN 2011, nous avons abattu un grand travail. J’espère conduire les mêmes efforts que ce que j’ai fait il y a 3 ans. Et j’estime avoir la compétence pour le poste. Mieux, je connais l’environnement et la sensibilité du foot burkinabè. Et j’ai toujours eu de la liberté dans le choix des joueurs que je pensais être les meilleurs et qui étaient prêts pour représenter l’équipe nationale. J’ai d’ailleurs dans mon staff 2 techniciens professionnels très compétents, formés à l’Université du sport du football du Portugal.
Vous travaillez toujours avec Paulo Duarte?
Mon lien professionnel avec Paulo Duarte a pris fin en 2012 après la CAN au Gabon et en Guinée équatoriale.
Votre souhait après cette candidature?
Mon souhait est que je sois la personne choisie pour diriger les joueurs qui ont été champions d’Afrique avec moi en 2011. Mais en même temps, si je suis retenu, je vais élargir la sélection aux talents de moins de 20 ans, que le pays regorge. Je crois que c’est en cela que je permettrai au football burkinabè de connaitre d’autres victoires tout en insistant sur le sérieux dans le travail.
Source : Burkina24
Après mon départ du Burkina, j’ai toujours eu l’idée qu’il serait préférable de continuer ma carrière dans le développement du football africain et faire de mon mieux pour être utile au continent. J’ai eu quelques invitations à travailler dans mon pays au Portugal, mais je n’ai pas trouvé de challenge intéressant. J’ai donc accepté un projet au Luxembourg qui m’a amené à travailler avec beaucoup de joueurs burkinabè. Mais le projet a échoué par manque de moyen pour réaliser le rêve que j’ambitionnais. J’étais obligé d’abandonner.
Avez-vous toujours des contacts avec le football burkinabè ?
Depuis que j’ai quitté le Burkina, je suis resté toujours en contact avec de nombreux amis que j’ai laissés là-bas. Je parle à presque tous mes anciens joueurs qui ont été champions d’Afrique. Malheureusement, le mois dernier j’ai perdu un ami proche, des suites du crash d’un avion de la compagnie air Algérie. Il s’appelle Omar Ballan et était propriétaire d’un café.
Connaissez-vous les dirigeants actuels du football burkinabé?
Je ne connais très bien la nouvelle direction de la FBF. Je sais très bien que le DTN Ousmane Savadogo a suivi de près notre travail lors des 2 ans où j’ai travaillé là-bas.
Une rumeur annonce votre retour au Burkina, avez-vous vraiment postulé pour y revenir?
J’ai appris qu’il y a eu offre pour le recrutement d’un entraîneur et ses assistants pour le compte des Etalons espoirs en vue de la qualification pour les Jeux Olympiques au Brésil. J’ai donc envoyé ma demande à la FBF. J’espère que ma candidature aboutira.
Pensez-vous apportez quelque chose de nouveau au football burkinabé?
Pour conduire les Etalons cadets à la CAN 2011, nous avons abattu un grand travail. J’espère conduire les mêmes efforts que ce que j’ai fait il y a 3 ans. Et j’estime avoir la compétence pour le poste. Mieux, je connais l’environnement et la sensibilité du foot burkinabè. Et j’ai toujours eu de la liberté dans le choix des joueurs que je pensais être les meilleurs et qui étaient prêts pour représenter l’équipe nationale. J’ai d’ailleurs dans mon staff 2 techniciens professionnels très compétents, formés à l’Université du sport du football du Portugal.
Vous travaillez toujours avec Paulo Duarte?
Mon lien professionnel avec Paulo Duarte a pris fin en 2012 après la CAN au Gabon et en Guinée équatoriale.
Votre souhait après cette candidature?
Mon souhait est que je sois la personne choisie pour diriger les joueurs qui ont été champions d’Afrique avec moi en 2011. Mais en même temps, si je suis retenu, je vais élargir la sélection aux talents de moins de 20 ans, que le pays regorge. Je crois que c’est en cela que je permettrai au football burkinabè de connaitre d’autres victoires tout en insistant sur le sérieux dans le travail.
Source : Burkina24