Rappel du premier message :
Le Burkina est à la fin d'une génération. Celle qui a fait notre fierté en 2013 est entrain d'être dépassée par la tournure des événements. En tout cas ce qui a été donné de voir ce samedi au stade du 4 Août est amer comme la quinine. Les étalons ont laissé filer deux points précieux aux sud- africains en concédant un match nul. PIT, Charles, Razack et dans une moindre mesure Alain ont failli nous faire mourir de crise cardiaque au stade. Duarté est entrain de refaire ce qui l'avait poussé à la sortie en 2012. Refuser de faire confiance aux jeunes. En tout cas Hervé Kouakou, Issoufou Dayo et Malo ont montré qu'en leur faisant confiance ils pouvaient se bonifier. Pour Banou ça se passe de commentaire. A peine 15 minutes de jeu, deux buts. En tout cas Itumeleng Khune nous a montré comment on joue à l'extérieur. Le mondial ne doit pas être une priorité pour le moment. Mais un bonus
Le Burkina est à la fin d'une génération. Celle qui a fait notre fierté en 2013 est entrain d'être dépassée par la tournure des événements. En tout cas ce qui a été donné de voir ce samedi au stade du 4 Août est amer comme la quinine. Les étalons ont laissé filer deux points précieux aux sud- africains en concédant un match nul. PIT, Charles, Razack et dans une moindre mesure Alain ont failli nous faire mourir de crise cardiaque au stade. Duarté est entrain de refaire ce qui l'avait poussé à la sortie en 2012. Refuser de faire confiance aux jeunes. En tout cas Hervé Kouakou, Issoufou Dayo et Malo ont montré qu'en leur faisant confiance ils pouvaient se bonifier. Pour Banou ça se passe de commentaire. A peine 15 minutes de jeu, deux buts. En tout cas Itumeleng Khune nous a montré comment on joue à l'extérieur. Le mondial ne doit pas être une priorité pour le moment. Mais un bonus