La rencontre :
Dans son premier match de la CAN contre les Lions Indomptables du Cameroun, nos Étalons ont laissé une impression mitigé. Dès le début du match ils ont réussit à mettre beaucoup d'envie et de pression sur l'équipe d'adverse. Cela a faillit payer durant le premier quart d'heure, les Camerounais étant étouffés et n'arrivant pas à développer leur jeu. Passé ses quinze minutes de folie, la tendance s'est peu à peu inversée. Le Cameroun parvient a confisquer le ballon au milieu de terrain et par conséquent très peu de balle réussissent à arriver devant leur but. Le Burkina montre trop de précipitation, donc d'imprécision dans ses passes, et perd de nombreux ballon dangereux. Le match se tend un peu et les Étalons (comme leur adversaires) font beaucoup de faute. C'est d’ailleurs en commettant l'une d'elles de le capitaine Kaboré offrait la balle de but au camerounais. Ce scénario se reproduit pendant près d'une heure et on est alors plus proche du 2-0 que de l'égalisation. Mais les Lions sombre petit a petit dans le l'anti-jeu et semble se contenter de ce résultat. Le match est alors très haché par les multiples fautes camerounaises. L'entré de deux joueurs (Diawara et Zongo) sera déterminante puisque c'est Banou qui tire magnifiquement le coup-franc à l'origine de l'égalisation. C'est un coup de massue pour les hommes d'Hugo Broos qui ne sont plus du tout dans leur partie. On se prête alors à rêver d'une victoire des Étalons, chose impensable une demi-heure avant. Au final le match nul est plutôt équitable dans une rencontre où chaque équipe aura eut ses temps fort. Le Burkina à fait preuve de beaucoup de volonté mais dans un système de jeu pas très clair et avec trop de déchets techniques.
Les Hommes :
Le jeune gardien de Hervé Koffi but n'a pas trembler pour sa première dans une grande compétition. Il a sauvé à plusieurs reprises les Étalons, en témoigne sa sortie extraordinaire dans les pieds de l'attaquant camerounais et qui est d'ores et déjà une des images de la CAN. Très rassurant dans sa surface, il a aussi soigner ses relances. On peu tout de même lui reproché son implication sur le but, où il n'est pas exempt de tout reproche. Mais cela est vite oublier tant le reste du match a été extraordinaire.
La défense a été beaucoup plus a la peine. Si la charnière Bako - Dayo a tenu bon, ils ont souvent été dépassé par la vivacité de leurs adversaires. Le général a toute fois soigné son lancement de jeu, trouvant des passes entre le lignes. C'est tout de mêmes eux qui sont à l'origine de l'égalisation, Dayo déviant une balle de Koné dans le but. Sur les côtés, cela à été encore plus rude pour nos défenseurs. Repositionner arrière droit Malo à eut beaucoup de mal à se situer sur le terrain et commis des erreurs qui aurait pu coûter cher. Son compère Yacouba Coulibaly, découvrait lui le très haut niveau. Il a montré beaucoup d'envie et de vivacité, notamment sur le plan offensif mais il a souffert face à Bassogog, dépassé par les dribbles de ce dernier.
Le milieu a lui aussi été en difficulté et n'a pas réussit a construire le jeu face à une équipe bien en place. Placé en sentinelle devant la défense Charles Kaboré à commis trop de faute et à été trop brouillon dans la relances. Devant lui Razack Traoré à été un peu transparent (malgré quelques bonnes passes) dans un rôle qui n'est pas le sien. A ses côté Alain à su se créer plus d'occasion mais a connu un très gros déchet dans ses passes (a peine 57% de réussite). De plus il a gâché de trop nombreuses munitions, tentant des coup-francs directs impossible, alors qu'il aurait fallu mettre la balle dans la boite.
Offensivement, après un très bon premier quart d'heure, les attaquants sevrés de ballon, se sont peu a peu éteint. Nakoulma a été à l'image de cela. Très remuant en début de rencontre, on l'a ne guère vu par la suite. Il a trop tenté de transpercé la défense à lui tout seul sans donner sa balle. Pitroipa n'a lui brillé que sur quelques rares fulgurances et n'a pas pesé dans le jeu. Enfin, le prodige Bertrand Traoré n'a pas eut rendement escompter. Décrochant très (trop) bas pour récupérer les ballons, il a rarement été dans la surface adverse pour apporter le danger.
C'est finalement des remplaçants que le salut est venu. Banou entrant assez tôt dans la rencontre à la place de Bertrand joua en vrai avant centre et étant très proche d'être une nouvelle fois le sauveur. Jonatan zongo lui a été beaucoup plus actif sur l'aile et Aristide Bancé s'est montré très solide et très provoquant dans la surface adversaire mais son temps de jeu à été trop réduit pour tirer une quelconque conclusion.
Pour conclure, si on a entrevu de belles choses (beaucoup d'envie, un gardien de haut niveau...) de nombreuse lacunes sont aussi apparu. On a du mal à identifier un plan de jeu et, aux vues de la difficulté de placement de certains, les joueurs aussi. On progresse mais c'est pour l'instant dans un épais brouillard...
Dans son premier match de la CAN contre les Lions Indomptables du Cameroun, nos Étalons ont laissé une impression mitigé. Dès le début du match ils ont réussit à mettre beaucoup d'envie et de pression sur l'équipe d'adverse. Cela a faillit payer durant le premier quart d'heure, les Camerounais étant étouffés et n'arrivant pas à développer leur jeu. Passé ses quinze minutes de folie, la tendance s'est peu à peu inversée. Le Cameroun parvient a confisquer le ballon au milieu de terrain et par conséquent très peu de balle réussissent à arriver devant leur but. Le Burkina montre trop de précipitation, donc d'imprécision dans ses passes, et perd de nombreux ballon dangereux. Le match se tend un peu et les Étalons (comme leur adversaires) font beaucoup de faute. C'est d’ailleurs en commettant l'une d'elles de le capitaine Kaboré offrait la balle de but au camerounais. Ce scénario se reproduit pendant près d'une heure et on est alors plus proche du 2-0 que de l'égalisation. Mais les Lions sombre petit a petit dans le l'anti-jeu et semble se contenter de ce résultat. Le match est alors très haché par les multiples fautes camerounaises. L'entré de deux joueurs (Diawara et Zongo) sera déterminante puisque c'est Banou qui tire magnifiquement le coup-franc à l'origine de l'égalisation. C'est un coup de massue pour les hommes d'Hugo Broos qui ne sont plus du tout dans leur partie. On se prête alors à rêver d'une victoire des Étalons, chose impensable une demi-heure avant. Au final le match nul est plutôt équitable dans une rencontre où chaque équipe aura eut ses temps fort. Le Burkina à fait preuve de beaucoup de volonté mais dans un système de jeu pas très clair et avec trop de déchets techniques.
Les Hommes :
Le jeune gardien de Hervé Koffi but n'a pas trembler pour sa première dans une grande compétition. Il a sauvé à plusieurs reprises les Étalons, en témoigne sa sortie extraordinaire dans les pieds de l'attaquant camerounais et qui est d'ores et déjà une des images de la CAN. Très rassurant dans sa surface, il a aussi soigner ses relances. On peu tout de même lui reproché son implication sur le but, où il n'est pas exempt de tout reproche. Mais cela est vite oublier tant le reste du match a été extraordinaire.
La défense a été beaucoup plus a la peine. Si la charnière Bako - Dayo a tenu bon, ils ont souvent été dépassé par la vivacité de leurs adversaires. Le général a toute fois soigné son lancement de jeu, trouvant des passes entre le lignes. C'est tout de mêmes eux qui sont à l'origine de l'égalisation, Dayo déviant une balle de Koné dans le but. Sur les côtés, cela à été encore plus rude pour nos défenseurs. Repositionner arrière droit Malo à eut beaucoup de mal à se situer sur le terrain et commis des erreurs qui aurait pu coûter cher. Son compère Yacouba Coulibaly, découvrait lui le très haut niveau. Il a montré beaucoup d'envie et de vivacité, notamment sur le plan offensif mais il a souffert face à Bassogog, dépassé par les dribbles de ce dernier.
Le milieu a lui aussi été en difficulté et n'a pas réussit a construire le jeu face à une équipe bien en place. Placé en sentinelle devant la défense Charles Kaboré à commis trop de faute et à été trop brouillon dans la relances. Devant lui Razack Traoré à été un peu transparent (malgré quelques bonnes passes) dans un rôle qui n'est pas le sien. A ses côté Alain à su se créer plus d'occasion mais a connu un très gros déchet dans ses passes (a peine 57% de réussite). De plus il a gâché de trop nombreuses munitions, tentant des coup-francs directs impossible, alors qu'il aurait fallu mettre la balle dans la boite.
Offensivement, après un très bon premier quart d'heure, les attaquants sevrés de ballon, se sont peu a peu éteint. Nakoulma a été à l'image de cela. Très remuant en début de rencontre, on l'a ne guère vu par la suite. Il a trop tenté de transpercé la défense à lui tout seul sans donner sa balle. Pitroipa n'a lui brillé que sur quelques rares fulgurances et n'a pas pesé dans le jeu. Enfin, le prodige Bertrand Traoré n'a pas eut rendement escompter. Décrochant très (trop) bas pour récupérer les ballons, il a rarement été dans la surface adverse pour apporter le danger.
C'est finalement des remplaçants que le salut est venu. Banou entrant assez tôt dans la rencontre à la place de Bertrand joua en vrai avant centre et étant très proche d'être une nouvelle fois le sauveur. Jonatan zongo lui a été beaucoup plus actif sur l'aile et Aristide Bancé s'est montré très solide et très provoquant dans la surface adversaire mais son temps de jeu à été trop réduit pour tirer une quelconque conclusion.
Pour conclure, si on a entrevu de belles choses (beaucoup d'envie, un gardien de haut niveau...) de nombreuse lacunes sont aussi apparu. On a du mal à identifier un plan de jeu et, aux vues de la difficulté de placement de certains, les joueurs aussi. On progresse mais c'est pour l'instant dans un épais brouillard...