FOOTBALL - Le défenseur de l'OL devrait être titulaire mardi contre le Real Madrid...
Ce n’est pas forcément un bon présage de débuter sa carrière professionnelle dans un club dénommé l’Etoile Filante, comme ce fut le cas pour Bakary Koné en 2005. L’avenir dira si sa trajectoire fut éphémère. Pour le moment, elle est fulgurante. Ce soir, le défenseur central de l’OL se produira à Santiago Bernabeu face au Real Madrid alors qu’il gambadait il y a encore cinq mois sur les terrains du National avec Guingamp. L’intéressé n’est pourtant pas surpris par son parcours. «Je suis croyant et je considère que par la volonté de dieu, tout peut arriver».
Pour l’OL, sa venue a été une bénédiction. Et une sacrée bonne affaire financière. Recruté 2 millions d’euros, Bakary Koné a déjà amorti son transfert grâce à son but inscrit à Kazan (1-1) qui a propulsé son nouveau club en phase de poules de la Ligue des champions. «Marquer apporte beaucoup de joie, mais je n’oublie pas que mon rôle est avant tout de bien défendre», rappelle l’international burkinabé. Auteur d’un nouveau but il y a trois semaines face au Dinamo Zagreb (2-0), l’ancien guingampais impressionne surtout pour ses qualités défensives et semble désormais indéboulonnable. «De l’extérieur, on peut penser que c’est facile, mais je suis toujours en phase d’apprentissage et d’adaptation», affirme-t-il.
Aulas envisage déjà de le prolonger
Il estime que son intégration a été facilitée par l’accueil qui lui a été réservé. «Le groupe m’a mis dans les meilleures conditions. Je ne me suis pas senti comme un étranger mais comme un membre de la famille». Sous le charme de sa nouvelle pépite dont la valeur a forcément augmenté, le président Aulas envisage déjà de lui proposer une prolongation de contrat, deux mois seulement après lui avoir fait signer un bail de cinq ans. «J’ai lu ça dans les journaux. Une prolongation serait la bienvenue, mais nous n’en avons pas encore discuté».
Dans l’immédiat, Koné se focalise sur le match qu’il s’apprête à livrer face au Real Madrid. Mais sans se prendre la tête. «Je me prépare comme d’habitude et j’évite de penser que je vais affronter Ronaldo, Benzema et Kaka». Il n’a donc pas cherché à s’imprégner du jeu de ses futurs adversaires. «On a un staff qui est là pour ça et j’appliquerai les consignes du coach» indique ce bon soldat qui a été surnommé le «Général Bako» par son ancien entraîneur à Ouagadougou. «Il disait que j’avais l’allure d’un militaire. Aujourd’hui, certains de mes coéquipiers me titille avec ça et essaye de me faire monter en grade». C’est ce qui pourrait bien finir par lui arriver s’il parvenait à neutraliser les attaquants madrilènes
Ce n’est pas forcément un bon présage de débuter sa carrière professionnelle dans un club dénommé l’Etoile Filante, comme ce fut le cas pour Bakary Koné en 2005. L’avenir dira si sa trajectoire fut éphémère. Pour le moment, elle est fulgurante. Ce soir, le défenseur central de l’OL se produira à Santiago Bernabeu face au Real Madrid alors qu’il gambadait il y a encore cinq mois sur les terrains du National avec Guingamp. L’intéressé n’est pourtant pas surpris par son parcours. «Je suis croyant et je considère que par la volonté de dieu, tout peut arriver».
Pour l’OL, sa venue a été une bénédiction. Et une sacrée bonne affaire financière. Recruté 2 millions d’euros, Bakary Koné a déjà amorti son transfert grâce à son but inscrit à Kazan (1-1) qui a propulsé son nouveau club en phase de poules de la Ligue des champions. «Marquer apporte beaucoup de joie, mais je n’oublie pas que mon rôle est avant tout de bien défendre», rappelle l’international burkinabé. Auteur d’un nouveau but il y a trois semaines face au Dinamo Zagreb (2-0), l’ancien guingampais impressionne surtout pour ses qualités défensives et semble désormais indéboulonnable. «De l’extérieur, on peut penser que c’est facile, mais je suis toujours en phase d’apprentissage et d’adaptation», affirme-t-il.
Aulas envisage déjà de le prolonger
Il estime que son intégration a été facilitée par l’accueil qui lui a été réservé. «Le groupe m’a mis dans les meilleures conditions. Je ne me suis pas senti comme un étranger mais comme un membre de la famille». Sous le charme de sa nouvelle pépite dont la valeur a forcément augmenté, le président Aulas envisage déjà de lui proposer une prolongation de contrat, deux mois seulement après lui avoir fait signer un bail de cinq ans. «J’ai lu ça dans les journaux. Une prolongation serait la bienvenue, mais nous n’en avons pas encore discuté».
Dans l’immédiat, Koné se focalise sur le match qu’il s’apprête à livrer face au Real Madrid. Mais sans se prendre la tête. «Je me prépare comme d’habitude et j’évite de penser que je vais affronter Ronaldo, Benzema et Kaka». Il n’a donc pas cherché à s’imprégner du jeu de ses futurs adversaires. «On a un staff qui est là pour ça et j’appliquerai les consignes du coach» indique ce bon soldat qui a été surnommé le «Général Bako» par son ancien entraîneur à Ouagadougou. «Il disait que j’avais l’allure d’un militaire. Aujourd’hui, certains de mes coéquipiers me titille avec ça et essaye de me faire monter en grade». C’est ce qui pourrait bien finir par lui arriver s’il parvenait à neutraliser les attaquants madrilènes