Anciennement cadre inamovible du onze rennais, Jonathan Pitroipa a perdu de sa superbe sous le mandat de Philippe Montanier. Candidat au départ sur ce mercato hivernal, le Burkinabé aurait dû rejoindre Stoke. Mais le transfert a finalement capoté. Explications.
Le Stade Rennais a été l’un des grands acteurs du mercato hivernal. En s’adjugeant les services de joueurs comme Ola Toivonen ou encore Paul-Georges Ntep, le club breton s’est sensiblement renforcé dans le secteur offensif. De quoi pousser un ancien cadre comme Jonathan Pitroipa vers la sortie. L’international burkinabé, indiscutable du onze de départ breton sous l’aire Antonetti, avait en effet perdu en efficacité dès l’intronisation de Philippe Montanier. Mais les dirigeants rennais, dans leur ambition de céder le joueur, ont dû faire face à un revirement de situation, expliqué aujourd’hui par L’Équipe.
De fait, en ce vendredi dernier jour du mercato, tout était clair : Pitroipa devait s’engager avec le club anglais Stoke City pour un prêt de six mois assorti d’une option d’achat à 3 M€, le tout avec – selon L’Équipe – un salaire mensuel de 130 000 € brut, supérieur à celui qu’il perçoit au Stade Rennais (110 000 €). Mais comme le rapporte le quotidien sportif, l’affaire a capoté à minuit moins cinq. Et ce, pour plusieurs raisons : d’abord, l’agent du joueur a réclamé une commission supérieure à ce qui avait été prévu, retardant ainsi les négociations. Et après être « revenu à la raison », ce dernier a fait part à son client que l’option d’achat était automatique. Comprendre par là qu’au-delà d’un certain nombre de matches disputés, le joueur aurait été contraint de rester à Stoke la saison suivante. Une solution qui ne l’a pas enchanté.
C’est ainsi que Pitroipa a refusé, dans les derniers instants du mercato, de parapher son bail avec le pensionnaire de Premier League, récent tombeur de Manchester United. Se pose alors la question autour de son avenir à Rennes, lui qui est en fin de bail en 2015, et qui après ce transfert avorté, a fait grincer quelques dents au sein du board breton. En cela, L’Équipeapparaît claire : le Burkinabé ne se fera pas de vieux os chez les Rouge et Noir. Alors qu’il n’a pas été retenu dans le groupe qui affronte l’OL ce dimanche, le joueur demeure un candidat au départ vers une destination plus lointaine. Selon le quotidien, des clubs turcs, qui peuvent encore bénéficier de quelques semaines supplémentaires de mercato, pourraient se manifester prochainement. D’ici là, Pitroipa devrait faire banquette. Pour lui, l’aventure bretonne est peut-être bien d’ores et déjà terminée.
Le Stade Rennais a été l’un des grands acteurs du mercato hivernal. En s’adjugeant les services de joueurs comme Ola Toivonen ou encore Paul-Georges Ntep, le club breton s’est sensiblement renforcé dans le secteur offensif. De quoi pousser un ancien cadre comme Jonathan Pitroipa vers la sortie. L’international burkinabé, indiscutable du onze de départ breton sous l’aire Antonetti, avait en effet perdu en efficacité dès l’intronisation de Philippe Montanier. Mais les dirigeants rennais, dans leur ambition de céder le joueur, ont dû faire face à un revirement de situation, expliqué aujourd’hui par L’Équipe.
De fait, en ce vendredi dernier jour du mercato, tout était clair : Pitroipa devait s’engager avec le club anglais Stoke City pour un prêt de six mois assorti d’une option d’achat à 3 M€, le tout avec – selon L’Équipe – un salaire mensuel de 130 000 € brut, supérieur à celui qu’il perçoit au Stade Rennais (110 000 €). Mais comme le rapporte le quotidien sportif, l’affaire a capoté à minuit moins cinq. Et ce, pour plusieurs raisons : d’abord, l’agent du joueur a réclamé une commission supérieure à ce qui avait été prévu, retardant ainsi les négociations. Et après être « revenu à la raison », ce dernier a fait part à son client que l’option d’achat était automatique. Comprendre par là qu’au-delà d’un certain nombre de matches disputés, le joueur aurait été contraint de rester à Stoke la saison suivante. Une solution qui ne l’a pas enchanté.
C’est ainsi que Pitroipa a refusé, dans les derniers instants du mercato, de parapher son bail avec le pensionnaire de Premier League, récent tombeur de Manchester United. Se pose alors la question autour de son avenir à Rennes, lui qui est en fin de bail en 2015, et qui après ce transfert avorté, a fait grincer quelques dents au sein du board breton. En cela, L’Équipeapparaît claire : le Burkinabé ne se fera pas de vieux os chez les Rouge et Noir. Alors qu’il n’a pas été retenu dans le groupe qui affronte l’OL ce dimanche, le joueur demeure un candidat au départ vers une destination plus lointaine. Selon le quotidien, des clubs turcs, qui peuvent encore bénéficier de quelques semaines supplémentaires de mercato, pourraient se manifester prochainement. D’ici là, Pitroipa devrait faire banquette. Pour lui, l’aventure bretonne est peut-être bien d’ores et déjà terminée.